x

Deux samedis par mois des films et des dessins animés en français sont projetés pour les petits comme pour les plus grands à la médiathèque.

Entrée libre
Inscription obligatoire, places limitées !

Pour s’inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél : 02 9 37 79 35

Prochaine projection :

Le samedi, 4 juin à 10h30

Le petit Nicolas, 2010, 1h 30 min., comédie

Résumé : Nicolas mène une existence paisible. Il a des parents qui l’aiment, une bande de chouettes copains avec lesquels il s’amuse bien, et il n’a pas du tout envie que cela change…
Mais un jour, Nicolas surprend une conversation entre ses parents qui lui laisse penser que sa mère est enceinte. Il panique alors et imagine le pire : bientôt un petit frère sera là, qui prendra tellement de place que ses parents ne s’occuperont plus de lui, et qu’ils finiront même par l’abandonner dans la forêt comme le Petit Poucet…

L’Institut français de Bulgarie lance un appel à candidatures, en collaboration avec l’Association des professeurs de et en français en Bulgarie (APFB), et propose 5 bourses de stage de 2 semaines au CAVILAM, à Vichy. Ce stage est destiné aux enseignants de français dans les établissements scolaires bulgares.  Il aura lieu du 5 au 16 décembre 2022 et s’intitule « Enseigner le FLE aujourd’hui : culture, société et nouvelles tendances ».

Conditions de candidature et formulaire en ligne

Les dossiers de candidature doivent être complétés et déposés en ligne.

Calendrier

L’Institut français de Bulgarie et le Théâtre mondial à Sofia 2022 ont le plaisir de vous présenter le spectacle mondialement connu « May B » de Maguy Marin le 7 juin à 19h30 au Théâtre satirique de Sofia. Le spéctacle s’inscrit au programme de la Présidence française de l’Union européenne.

Maguy Marin est dotée du sens de la fantaisie et de l’absurde ; à travers les pièces de Samuel Beckett, elle a trouvé un objectif idéal pour méditer sur les absurdités de la vie. Comme lui, elle travaille avec des archétypes – les mêmes, et nous offrant des images universelles, elle fait en sorte que la condition humaine nous paraisse très spécifique. Anna Kisselgoff, The New York Times – 1986

May B est une pièce iconique de Maguy Marin, la grande dame de la danse contemporaine en France. Crée en 1981, elle lui apporte tout de suite un succès international et reste toujours à l’affiche des scènes du monde entier, étant représentée plus de 800 fois.

Inspirée de l’œuvre de Samuel Beckett, May B est imprégnée du tragique, de l’humour et du cynisme salvateur qui sont la marque de l’auteur. Dix êtres, un magma de figures d’humanité absolue, se heurtent et plongent dans l’absurdité de la comédie de la vie. Réconciliant la danse et le théâtre, les interprètes jouent la drôlerie de l’impossibilité de vivre ensemble et se meuvent dans l’incapacité tragique à rester seul. Un grand classique, intemporel, de la danse contemporaine.

Chorégraphie Maguy Marin
Musique originale Franz Schubert, Gilles de Binche, Gavin Bryars
Lumières Alexandre Beneteaud
Costumes Louise Marin
Interprètes Kais Chouibi, Lazare Huet, Louise Mariotte, Lisa Martinez, Lise Messina, Isabelle Missal, Cathy Polo, Rolando Rocha, Ennio Sammarco, Marcelo Sepulveda
Production Compagnie « Maguy Marin », Maison des Arts et de la Culture de Créteil
Durée 90 min.

Née à Toulouse, Maguy Marin étudie la danse classique au conservatoire de sa ville. Elle entre ensuite au ballet de Strasbourg, puis rejoint l’École Mudra à sa création en 1970 à Bruxelles – s’ensuivent trois ans de travail intense décisifs dans son parcours. Elle sera soliste quatre saisons durant du Ballet du XXe siècle sous la direction de Maurice Béjart. Dans les années 70 elle commence à travailler seule et devient dès lors une des chorégraphes les plus importantes de la Nouvelle danse française. En 1984 elle fonde sa propre compagnie, avec laquelle elle créé plus de 50 spectacles. Maguy Marin est l’une des très rares non Américaines à avoir reçu l’American Dance Festival Award. En juin 2016, la Biennale de Venise lui remet un Lion d’or pour l’ensemble de son parcours artistique.

A partir du 12 juin, 19h00 jusqu’au 13 juin, 19h00 sur viafest.org vous aurez la possibilité de voir, gratuitement, un film spécial sur le spectacle May B par la réalisateur David Mambouch.

Le spectacle, présenté à Sofia, grâce au soutien de l’Ambassade de France et l’Institut français de Bulgarie.
Avec le soutien du programme Teatroskop, initié par le Ministère de l’Europe et des affaires étrangères français, le Ministère de la culture et l’Institut français de Paris.
La compagnie « Maguy Marin » est subventionnée par la Direction Régionale des Affaires Culturelles Auvergne-Rhône-Alpes, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Ville de Lyon.
Billets : 25, 20, 18 BGN/16 BGN pour étudiants et retraités à la caisse du Théâtre satirique ou en ligne satirata.bg/tickets.
Théâtre mondial à Sofia fait partie du Calendrier culturel de la Municipalité de Sofia pour l’année 2022.

PFUE

Dans le cadre du Plan AUF spécial Ukraine, et plus spécialement dans un but de réintégration, l’ESFAM (Établissement Spécialisé de la Francophonie pour l’Administration et le Management) de Sofia (Bulgarie) offre 50 places à des réfugié.e.s ukrainien.ne.s dans un cursus universitaire.

ESFAM – intsitut de l’AUF propose :

Inscriptions avant le 31 mai 2022.

Pour plus d’information et inscriptions

À l’occasion de la Journée des saints frères Cyrille et Méthode, de l’alphabet, de l’éducation et de la culture bulgares et des lettres slaves, l’Institut français de Bulgarie sera fermé au public le 24 mai 2022.

L’Iinstitut français de Bulgarie et ses partenaires présentent le forum international « Architecture et politique au XXe siècle – de l’invention au patrimoine – » les 9 et 10 juin 2022. L’évènement est organisé dans le cadre de la programmation en Bulgarie de la Présidence française du Conseil de l’Union européenne.

Aucun art ne transcrit plus directement la politique des nations que l’architecture, qu’elle opère à l’échelle des ensembles urbains ou à celle des édifices. Et peu d’époques ont vu comme le XXe siècle coïncider des bouleversements aussi considérables que l’architecture et la politique.

Sans prétendre dresser une impossible cartographie d’ensemble, le forum entend confronter certaines des expériences les plus significatives intervenues en Europe entre la fin de la Première Guerre mondiale et la fin de la Guerre froide, en mettant en évidence les liens complexes entre les discours et les stratégies politiques, tout autant que les transformations des langages imaginés et bâtis, dont les édifices monumentaux, conventionnellement liés aux totalitarismes, ne sont qu’une expression parmi d’autres.

Les lignes de continuité et les ruptures repérables entre les années 1920 et les années 1980 seront identifiées. Les modalités selon lesquelles beaucoup des architectures les plus remarquables sont devenues des objets patrimoniaux, parfois au terme de polémiques intenses, seront évoquées, car elles permettent de mesurer l’adhésion des citoyens aux créations des architectes et aux valeurs qu’elles semblent cristalliser.

Langues officielles du forum : français, bulgare, anglais.
Traductions simultanées assurées dans les 3 langues.
Entrée libre.

Evènement Facebook

Brochure en français (PDF, 1.34 MB)

Brochure en anglais (PDF, 1.31 MB)

Le Forum est organisé en partenariat avec : l’Assemblée nationale de la République de Bulgarie, le ministère de la Culture, la Municipalité de Sofia, l’Université de Sofia « St. Clément d’Ohrid », la Maison des Sciences de l’Homme et de la Société, Sofia, l’Université d’architecture, de génie civil et de géodésie (UACEG), l’Institut national du patrimoine culturel immobilier, la Chambre des architectes de Bulgarie, l’ICOMOS Bulgarie, le Goethe Institut de Sofia, l’Institut Cervantes de Sofia, l’Institut culturel italien de Sofia, l’Institut culturel roumain, l’ Institut français de Paris, l’Institut français de Serbie, l’Institut français de Roumanie et l’Ambassade de France en Albanie.

JEUDI 9 JUIN au NDK – Palais national de la Culture (architecte Barov), salle 8, entrée A4

09h00 Ouverture
S.E. Florence Robine, Ambassadrice de France en Buglarie, M. Atanas Atanasov, Ministre de la Culture, Mme Yordanka Fandakova, Maire de Sofia

09h20 Le « New Bauhaus européen », la force d’un projet, un siècle après : visioconférence
Mme Lauriane Betrand, membre du cabinet de la Commissaire Mariya Gabriel, en charge de la culture et du New European Bauhaus

09h30 Conférence introductive : Le gouvernement de l’espace ou la dimension politique de l’architecture
Arch. Prof. Jean-Louis Cohen

10h15 Session 1 – Nationalisme et modernité, 1918-1939

La période entre les deux guerres a été marquée par les traumatismes corporels, sociaux et mentaux du premier conflit mondial. Le sentiment de sécurité et d’équilibre des années antérieures s’est enlisé dans la boue de la souffrance et des extrêmes. Le rejet de l’ancien au nom d’un renouveau radical fut une impulsion intellectuelle majeure au cours des années 1920. L’universalisme des langages des avant-gardes entra alors dans un dialogue fécond avec les valeurs locales et nationales, interprétées selon des perspectives fort différentes.

Quelle est la relation entre les visions architecturales radicales de l’époque et les stratégies politiques réformistes et totalitaires ? Comment le discours moderne a-t-il coexisté et avec l’éclectisme et le monumentalisme patriotique ? Comment les tensions entre les perspectives sociales utopiques, les visions technocratiques et les attentes des gouvernants façonnèrent-elles le paysage des villes d’une Europe déjà inquiète ?

Good blocks – Bad blocks
Prof. Dr. Angelika Schnell, Académie des Beaux-arts, Vienne

1919-1940 : Derrière les façades de la modernité architecturale en Roumanie
Arch. Dr. Radu Tudor Ponta, Université d’architecture et d’urbanisme Ion Mincu, Bucarest

Architecture et politique en Italie dans les années du fascisme
Prof. Marida Talamona, Université Roma Tre, Rome

Le patrimoine communiste national ukrainien face à la menace russe
Arch. Ievgenia Gubkina, co-fondatrice de l’ONG Urban Forms Centre, Kharkiv

12h30 – 13h30 Débat session 1

15h00 Session 2 – Réalisme socialiste et hégémonie soviétique, 1945-1955

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le fascisme et le nazisme furent balayés, alors que l’URSS stalinienne étendit son périmètre d’influence, exportant les thèmes monumentaux du réalisme dit « socialiste ». Quels sont les langages spécifiques d’une architecture mise en œuvre dans une période en définitive assez brève quoique intense, et comment ont-ils intégré ou rejeté les figures du moderne d’avant la guerre ? Comment les préceptes forgés en Union soviétique ont-ils été infléchis par les cultures architecturales locales, qui restaient en partie perméables aux expériences occidentales ? Et comment cette modernisation en costume historiciste peut-elle être lue en parallèle à celle que pratiqua l’Europe occidentale au même moment ?

Tirana, ou la rencontre de l’urbanisme mussolinien et de l’esthétique soviétique. La forme traduit l’idéologie…
Prof. Dr. Armand Vokshi et Maître de conférences Denada Veizaj, Université polytechnique de Tirana

Le Réalisme Socialiste est-il (Dé)colonial ? Le Palais de la Culture et de la Science à Varsovie, 1952-2022
Dr. Michal Murawski, University College London

Du Réalisme Socialiste en Roumanie. Succès et Echecs
Arch. Dr. Irina Tulbure, Université d’architecture et d’urbanisme Ion Mincu, Bucarest

Le Havre n’est pas Stalingrad-sur-Mer. Le projet théorique monumental d’Auguste Perret
Arch. Dr. Ana bela de Araujo, École Nationale Supérieure d’Architecture, Marseille

La non-synchronicité entre Politique et Urbanisme : l’ensemble du « Largo » à Sofia
Dr. Elitsa Stanoeva, Centre d’études avancées, Sofia

17h30 – 18h30 Débat session 2

VENDREDI 10 JUIN, agence de presse BTA (architecte Zidarov)

09h00 Session 3 – Le moderne retrouvé, 1956-1991

Avec la détente intervenue dans les années 1960 et la poursuite en sourdine de la Guerre froide au cours des années 1970 et 1980, l’architecture européenne a continué à être guidée par les politiques des états, tandis qu’à l’Est, la subordination antérieure des esthétiques aux préceptes de l’État-parti se dissipait. Les aspirations à un mieux-être social et une émancipation relative ont coïncidé avec d’ambitieux projets économiques, culturels et urbanistiques. Dans cette phase, les convergences n’ont pas manqué entre les deux Europe, que ce soit l’accent mis en commun sur l’industrialisation de la construction des logements ou la recherche de formes expressives, irriguée par les œuvres de Le Corbusier, Alvar Aalto ou Oscar Niemeyer.

L’Architecture au sein du Socialisme Global
Prof. Dr. Lukasz Stanek, Université de Manchester

La Modernité Socialiste. L’Architecture en RDA 1950 – 1990
Dr. Thomas Flierl, historien de l’art et de l’architecture, Berlin

En quête de modernité sur la côte
Prof. Todor Krestev, architecte, Sofia

Le cas de la Zone centrale du « Nouveau » Belgrade
Arch. doctorante Jelica Jovanovic, Belgrade

Oscar Niemeyer et les monuments de la culture en France
Prof. Dr. Richard Klein, Lille

11h45 – 12h45 Débat session 3

14h00 Session 4 – La conservation d’un patrimoine polémique

Deux décennies après la fin du XXe siècle, la recomposition du paysage politique européen se conjugue avec l’apparition d’une conscience patrimoniale distincte selon les pays. Les édifices et certains ensembles urbains des maîtres modernes ont fait leur apparition sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Dans le même temps, les sites et les grands ensembles créés par les régimes totalitaires sont devenus des supports de mémoire, tant ils sont liés à la construction du socialisme dit « réel ». Ils en réifient les programmes, suscitant selon les cas une horreur rétrospective ou une indéfinissable nostalgie.
À côté de leur réutilisation à des fins identiques – certaines destinations n’ont pas changé – ou de leur reconversion, la question de ce que signifie leur forme ne cesse d’être posée. En tant que tels, ces édifices sont des documents historiques, au même titre que ceux construits pour les programmes technocratiques de l’Europe occidentale. Ensemble, ils forment le patrimoine pluriel du continent.

Patrimoine contesté: contextualiser les passés difficiles
Arch. Dr. Aneta Vasileva et Arch. Dr. Emilia Kaleva, Université d’architecture, de génie civil et de géodésie (UACEG), Sofia

La marchandisation de l’histoire : architecture et patrimoine en Hongrie depuis 2010
Doctorante Orsolya Sudar, Budapest

Droit d’auteur collectif. Du Palais de Ceaușescu à la Maison du Peuple
Călin Dan, Directeur du Musée national d’art contemporain, Bucarest

Nowa Huta, la jumelle socialiste réaliste de Cracovie – une histoire continue Dr. Dorota Jedruch, Institut de l’histoire de l’art de l’Université Jagellonne, Cracovie

La Stalinallee et le Hansaviertel – oppositions conceptuelles et complémentarité patrimoniale à Berlin
Prof. Dr. Gabi Dolff-Bonekämper, Berlin

16h45-17h45 Débat session 4

17h45-18h00 Conclusions

Modérateurs :
Andrei Țărnea, diplomate, ancien directeur général du think tank Aspen Roumanie
Jean-Louis Cohen, historien de l’art et de l’architecture du XXe siècle, conseiller scientifique du Forum
Georges Angelov, journaliste, animateur et producteur de télévision (BNT), traducteur
Richard Klein, architecte, historien, président de Docomomo France

PFUE

Entre jalousie, mensonges ou tendresse ce cycle de 8 films vous proposeront un bouquet d’émotions qui interrogeront votre conception de l’amour.

Une femme peut-elle aimer également deux hommes ? L’amour peut-il encore rendre fou ? – ces deux questions seront posés lors du premier weekend des « grand classiques » et se poursuivront avec un weekend consacré à l’œuvre de Catherine Corsini, une réalisatrice engagée qui met en scène souvent les ambiguïtés des relations amicales et amoureuses.

Les films sont sous-titrés en langue bulgare.
Entrée avec un billet (tarif standard 7 BGN / tarif réduit 4 BGN) ou une carte d’abonnement.
Les retraités et les abonnés de l’Institut français bénéficient du tarif réduit.
Dans le cadre de ce cycle de films, un billet de projection pour les couples amoureux – prix réduit de 4 BGN.

vendredi 10 juin, 18h30

Deux moi

2019, 110’, Drame

Réalisateur : Cédric Klapisch

Avec : Ana Girardot, Pierre Niney, Camille Cottin, François Civil

Rémy et Mélanie ont trente ans et vivent dans le même quartier à Paris. Elle multiplie les rendez-vous ratés sur les réseaux sociaux pendant qu’il peine à faire une rencontre. Tous les deux victimes de cette solitude des grandes villes, à l’époque hyper connectée où l’on pense pourtant que se rencontrer devrait être plus simple… Deux individus, deux parcours. Sans le savoir, ils empruntent deux routes qui les mèneront dans une même direction… celle d’une histoire d’amour ?

samedi 11 juin, 19h00 

Les apparences

2020, 110’, Thriller

Réalisateur : Marc Fitoussi

Avec : Karin Viard, Benjamin Biolay, Lucas Englander

Vienne, ses palais impériaux, son Danube bleu et… sa microscopique communauté française. Jeune couple en vue, Ève et Henri, parents d’un petit Malo, ont tout pour être heureux. Lui est le chef d’orchestre de l’Opéra, elle travaille à l’Institut français. Une vie apparemment sans fausse note, jusqu’au jour où Henri succombe au charme de l’institutrice de leur fils.

vendredi 20 mai, 18h30

Pierrot le fou

1965, 112’, Fiction, Polar et action

Réalisateur : Jean-Luc Godard

Interprètes : Anna Karina et Jean-Paul Belmondo

Ferdinand prend la route avec Marianne, une étudiante qu’il a aimée autrefois. Mais le voyage en amoureux tourne vite à la course-poursuite. Une bande de gangsters à laquelle Marianne semble être mêlée les traque en permanence… Avec un polar comme scénario, Godard semble réinventer le cinéma. Poème bleu et rouge où la mer redevient mythique et les humains des dieux.

samedi 21 mai, 19h00

Jules et Jim

1961, 105’, Comédie dramatique

Réalisateur : François Truffaut

Avec : Oscar Werner, Henri Serre, Jeanne Moreau, Marie Dubois

Jules et Jim sont deux étudiants bohèmes et jolis-cœurs dans le Paris de la Belle-Epoque. Ils partagent tout, goûts artistiques, points de vue sur l’existence, conquêtes. Un jour ils tombent sur Catherine, une jeune femme au moins aussi libre que chacun d’eux.

vendredi 27 mai, 18h30

Mais vous êtes fous

2019, 95’, Drame

Réalisatrice : Audrey Diwan

Avec : Pio Marmaï, Céline Sallette, Carole Franck

Roman aime Camille, autant qu’il aime ses deux filles. Mais il cache à tous un grave problème d’addiction, qui pourrait mettre en péril ce qu’il a de plus cher. L’amour a-t-il une chance quand la confiance est rompue?

samedi 28 mai, 19h00

Les jeunes amants 

2021, Drame, Romantique, 112’

Réalisatrice : Carine Tardieu

Avec : Melvil Poupaud, Fanny Ardant

Shauna, 70 ans, libre et indépendante a mis sa vie amoureuse de côté. Elle est cependant troublée par la présence de Pierre, cet homme de 45 ans qu’elle avait tout juste croisé, des années plus tôt.
Et contre toute attente, Pierre ne voit pas en elle “une femme d’un certain âge”, mais une femme, désirable, qu’il n’a pas peur d’aimer.
Des messages drôles et mains qui s’entrelacent, un drame amoureux, délicat, intense et bouleversant qui joue avec le temps.

vendredi 3 juin, 18h30

La belle saison

2015, 105’, Comédie dramatique

Réalisateur : Catherine Corsini

Interprètes : Cécile de France, Izïa Higelin, Noémie Lvovsky

1971. Delphine, fille de paysans, monte à Paris pour s’émanciper du carcan familial et gagner son indépendance financière. Carole est parisienne. En couple avec Manuel, elle vit activement les débuts du féminisme. Lorsque Delphine et Carole se rencontrent, leur histoire d’amour fait basculer leurs vies.

samedi 4 juin, 19h00

Un amour impossible

2018, 2h15, Drame

Réalisateur : Catherine Corsini

Avec : Virginie Efira, Niels Schneider, Jehnny Beth, Estelle Lescure, Coralie Russier, Iliana Zabeth

A la fin des années 50 à Châteauroux, Rachel, modeste employée de bureau, rencontre Philippe, brillant jeune homme issu d’une famille bourgeoise. De cette liaison passionnelle mais brève naîtra une petite fille, Chantal. Philippe refuse de se marier en dehors de sa classe sociale. Rachel devra élever sa fille seule. Peu importe, pour elle Chantal est son grand bonheur, c’est pourquoi elle se bat pour qu’à défaut de l’élever, Philippe lui donne son nom. Une bataille de plus de dix ans qui finira par briser sa vie et celle de sa fille…D’après le roman de Christine Angot.

L’Institut français de Bulgarie et l’Association des professeurs de et en français (APFB) organisent les Assises du français « Les enjeux de la diversité linguistique en Europe à l’heure du numérique et la place du français en Bulgarie », au lycée Ekzarh Yossif Ier de Lovetch. Elles se tiendront les vendredi 10 et samedi 11 juin 2022 et réuniront les acteurs de l’enseignement de et en français.

La thématique s’inscrit dans les priorités de la Présidence française du Conseil de l’Union européenne, dans le domaine de l’éducation.

Des conférences, table-ronde et ateliers pédagogiques destinés aux enseignants de français et de DNL permettront d’interroger les enjeux de la diversité linguistique en Europe et du français en Bulgarie, face aux défis du numérique.

Programme (PDF, 814KB)

Formulaire d’inscription : Bien lire au préalable les conditions de participation précisées dans le formulaire.

NB : La date-limite d’inscription est fixée au plus tard le mercredi 1 juin 2022.

Contact inscriptions :  kalina.mindova@institutfrancais.bg ; romain.descroix@institutfrancais.bg

Transports et hébergement pour les membres de l’APFB : lyubenova.v@apfb-bg.org 

PFUE

Le 13 mai 2022 sous la présidence d’honneur de Demetra Duleva, le jury composé de représentants de huit lycées et universités, a décerné le Choix Goncourt de la Bulgarie 2022 à Mohamed Mbougar Sarr pour son dernier roman La plus secrète mémoire des hommes (Coédition Philippe Rey/Jimsaan, 2021).

« D’une perpétuelle inventivité, La plus secrète mémoire des hommes est un roman étourdissant, dominé par l’exigence du choix entre l’écriture et la vie, ou encore par le désir de dépasser la question du face-à-face entre Afrique et Occident. Il est surtout un chant d’amour à la littérature et à son pouvoir intemporel. »

Mohamed Mbougar Sarr, 31 ans, est un écrivain sénégalais d’expression française. Auteur de quatre romans, il devient en 2021 l’un des plus jeunes lauréats du Prix Goncourt pour son dernier roman. Pour lui « la littérature est un véritable point de vue sur le monde ».

Ecrivaine et diplomate bulgare, Demetra DULEVA est titulaire d’un master en philologie italienne et langue anglaise de l’Université de Sofia « Saint Clément d’Ohrid », avec une spécialisation effectuée à l’Université de Rome en linguistique comparée. Correspondante nationale de la Francophonie auprès du ministère bulgare des Affaires étrangères, elle a publié deux romans L’albatros errant (2019) et Constellations renversées (2021).

Organisé par l’Institut français de Bulgarie, en partenariat avec l’Académie Goncourt, le Choix Goncourt de la Bulgarie a pour objectif de promouvoir la littérature francophone sur tout le territoire bulgare.

Pour cette cinquième édition du Choix Goncourt de Bulgarie, 47 élèves et étudiants répartis en 7 équipes ont choisi leur roman préféré parmi la troisième sélection officielle du Prix Goncourt 2021 ; ils l’ont défendu avec passion devant le jury : le lycée français Victor Hugo de Sofia, le lycée bilingue Lamartine de Sofia, le lycée N°12 Tsar Assen II, le Lycée N° 133 Pouchkine, le lycée Frédéric Joliot-Curie de Varna, le lycée Yoan Ekzarch de Varna, l’université de Sofia « Saint Clément d’Ohrid » et la Nouvelle université bulgare.

En marge des délibérations du Choix Goncourt de la Bulgarie, un jury présidé par Claudia Calvo, conseillère adjointe de coopération et d’action culturelle, attachée de coopération éducative à l’Institut français de Bulgarie et composé d’Athanasse Sougarev, traducteur, éditions « Colibri » et d’Emmanuel Samson, responsable du CREFECO, a remis à Yanitsa Roussinova et Anastasia Marinova de l’équipe de l’Université de Sofia « Saint Clément d’Ohrid », menée par Vladimir Sungarski, le Prix d’écriture d’invention.

Le Choix Goncourt de la Bulgarie 2022 trouvera un prolongement le 18 mai 2022 à 17h00 à l’Université de Sofia, dans le cadre d’une rencontre littéraire au Centre francophone autour de l’œuvre de Demetra Duleva.

Nous vous attendons !

A l’occasion de la Présidence française de l’Union européenne une Micro-folie sera installée dans une des salles du Musée régional d’histoire de Sofia à partir du 15 mai 2022. Conçu à La Villette de Paris, ce musée numérique est une porte ouverte sur la diversité des trésors de l’humanité – Beaux-arts, architecture, cultures scientifiques, spectacle vivant…

Il présentera La collection européenne qui raconte l’histoire culturelle et artistique du continent à travers plus de 200 œuvres pluridisciplinaires provenant de prestigieuses institutions des 27 pays membres. Du Trésor thrace de Panaguyurichté à Versailles, de Titien à Van Gogh, de Mozart au HipHop, cette collection offre un panorama complet des créations qui ont marqué l’Europe et de la richesse des peuples qui la composent.

Le Musée numérique permet également de découvrir, à côté de chez vous, les trésors des plus grandes institutions françaises telles que le Centre Pompidou, Le Louvre, le Festival d’Avignon, Le Musée d’Orsay, etc.

Présentés d’une manière ludique, à travers des thématiques ciblés par des médiateurs, les collections sont facilement accessibles à tous en français et en anglais jusqu’au 15 octobre au Musée historique régional de Sofia (1, place Banski).

Entrée libre dans la Nuit des musées.

Entrée Micro-folie adultes (18+) : 6 BGN
Entrée Micro-folie + exposition permanente : 10 BGN
Entrée élèves, étudiants, doctorants Micro-folie : 2 BGN
Entrée élèves, étudiants, doctorants Micro-folie + exposition permanente : 4 BGN

PFUE