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Les 14 et 15 janvier 2023 l’association Arte Urbana Collectif, en partenariat avec l’Institut français de Bulgarie, organise une conférence portant sur l’éducation au cinéma à l’école, alliant activités créatives et sensibilisation sociale. Les participants auront l’occasion de se familiariser avec une nouvelle collection de courts métrages et de ressources pédagogiques spécialement conçues pour les accompagner, avec de nombreuses possibilités d’activités créatives dans la salle de classe et en dehors, et en partenariat avec des institutions et organisations culturelles et éducatives.

Les ressources pédagogiques qui seront présentées soutiendront le développement de projets artistiques qui encouragent les élèves à réfléchir sur la vie de leur communauté locale. Au cœur du programme, six courts métrages présentant des différentes perspectives sur les relations et les contextes sociaux. Leurs auteurs offrent une variété de styles et de formes cinématographiques, ainsi que des histoires passionnantes. Ils attireront l’attention, susciteront des émotions et donneront matière à réflexion dans les salles de classe et au-delà. Les ressources et les divers ateliers proposés contribueront à développer le potentiel des expériences de création cinématographique au sein des établissements scolaires.

La conférence s’adresse aux enseignants, aux psychologues scolaires et au personnel pédagogique, aux représentants des centres communautaires, des bibliothèques, des centres culturels et de jeunesse, des associations travaillant avec les enfants et les jeunes.

L’événement fait partie du projet européen Short Cut – Young Filmmakers Portray Their City, auquel participent trois organisations : Fundacja Centrum Edukacji Obywatelskiej – Pologne, The Nerve Centre – Irlande du Nord et Arte Urbana Collectif – Bulgarie. Leurs partenaires sont : des écoles (Technikum nr 4 à Bytom, Pologne, Lycée Saint Kliment Ohridski à Lovetch, Aquinas Diocesan Grammar school à Belfast, Irlande du Nord), des bibliothèques (Bibliothèque régionale Prof. Benyo Tsonev et son centre de bénévoles, Screen Digital Film Archive en Irlande du Nord), des centres créatifs (Bytomskie Centrum Kultury BECEK) et communautaires (Lokal w Bytomiu, Ballynafeigh Community Development Association, Belfast et Belfast South Community Resources, Belfast).

L’entrée est gratuite, après inscription obligatoire ICI.

Programme de la conférence :

14 janvier (samedi)

09:30 – 10:00 – Inscription et café
10:00 – 11:00 – Présentation d’une collection de courts métrages et de ressources, dans le cadre du projet « Short Cut – Les jeunes cinéastes filment leur ville », financé par Erasmus+
11:00 – 12:00 – Présentation d’un film réalisé par les élèves dans le cadre du projet. Avec la participation d’élèves du lycée St. Kliment Ohridski à Lovetch, des enseignants et des représentants du partenaire local – la bibliothèque régionale Prof. Benyo Tsonev

12:00 – 12:30 – Temps de discussion
12:30 – 14:00 – Déjeuner

14:00 – 16:00 – Ateliers pour l’échange de bonnes pratiques entre enseignants
17:00 – 22:00 – Projection du film Monsieur Bachmann et sa classe, réalisé par Maria Speth, suivie d’une discussion. La projection aura lieu dans la salle du Goethe-Institut Bulgarie.

15 janvier (dimanche).

09:30 – 10:00 – Café et discussion libre
10:00 – 12:30 – Projection d’un court-métrage du programme Short Cut – Les jeunes cinéastes filment leur ville, suivie d’un atelier pratique sur le thème « Portrait / Autoportrait ».

Le samedi, 7 janvier de 10h30 à 12h00

Ariol, le chevalier Cheval, 1h00’

Les projections sont destinées uniquement aux enfants, les parents peuvent rester à la médiathèque pendant ce temps.

Résumé : Ariol, le petit âne, vous présente son héros préféré : Le Chevalier Cheval, justicier des étoiles ! Il est grand, fort et courageux. Ariol aimerait tant avoir des oreilles moins longues et des muscles plus gros, pour lui ressembler…

Conseillé à partir de 3 ans

Entrée libre
Inscription obligatoire, places limitées!

Pour s’inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél : 02 9 37 79 35

Une entrée en 2023 qui s’annonce frissonnante ! Meurtres, brume, disparitions, loups garous : que des films concoctés par les maîtres du genre ou par de jeunes réalisateurs surdoués.

Nos peurs changent avec l’âge, mais l’époque où nous étions terrifiés de ce qui pouvait se cacher sous notre lit n’est jamais bien loin. Les films d’horreur agitent nos émotions les plus profondes, décortiquent nos cauchemars, nos angoisses et se servent souvent de la peur pour raconter autre chose.

Venez donc faire monter votre adrénaline, lors des 8 projections salle Slaveykov au mois de janvier. Cela vous fera un bien fou et vous donnera l’envie de vivre maintenant, plus que jamais.

Tous les films sont sous-titrés en langue bulgare.
Entrée avec un billet (tarif standard 8 BGN / tarif réduit 5 BGN) ou une carte d’abonnement.
Les retraités et les abonnés de l’Institut français bénéficient du tarif réduit.

AU PROGRAMME:

vendredi 27 janvier, 18h30

Teddy

2020, 89’, Comédie, Fantastique
Réalisateur : Ludovic Boukherma et Zoran Boukherma
Avec : Anthony Bajon, Ludovic Torrent, Christine Gautier, Noémie Lvovsky

Dans les Pyrénées, un loup attise la colère des villageois. Teddy, 19 ans, sans diplôme, vit avec son oncle adoptif et travaille dans un salon de massage. Sa petite amie Rebecca passe bientôt son bac, promise à un avenir radieux. Pour eux, c’est un été ordinaire qui s’annonce. Mais un soir de pleine lune, Teddy est griffé par une bête inconnue. Les semaines qui suivent, il est pris de curieuses pulsions animales…

Déconseillé au jeune public

samedi 28 janvier, 19h00

La nuit a dévoré le monde

2017, 94’, Fantastique
Réalisateur : Dominique Rocher
Avec : Anders Danielsen Lie, Golshifteh Farahani, Denis Lavant

En se réveillant ce matin dans cet appartement où la veille encore la fête battait son plein Sam doit se rendre à l’évidence : il est tout seul et des morts vivants ont envahi les rues de Paris. Terrorisé, il va devoir se protéger et s’organiser pour continuer à vivre. Mais Sam est-il le seul survivant?

vendredi 6 janvier, 18h30

Chanson douce

2019, 100’, Drame
Réalisateur : Lucie Borleteau
Avec : Karin Viard, Antoine Reinartz, Leïla Bekhti

Paul et Myriam ont deux enfants en bas âge. Ils engagent Louise, une nounou expérimentée, pour que Myriam puisse reprendre le travail. Louise se montre dévouée, consciencieuse, volontaire, au point que sa présence occupe une place centrale dans la famille. Mais très vite les réactions de Louise deviennent inquiétantes.

samedi 7 janvier, 19h00

Ascenseur pour l’échafaud

1957, 90’, Polar et action
Réalisateur : Louis Malle
Avec : Jeanne Moreau, Maurice Ronet, Georges Poujouly

Julien Tavernier assassine son patron avec l’aide de sa femme dont il est l’amant. Une fois le meurtre commis, Julien, voulant supprimer un indice compromettant, se retrouve bloqué dans l’ascenseur. Tandis qu’il s’évertue à en sortir, les deux femmes de sa vie se croisent…

vendredi 13 janvier, 18h30

Trois jours et une vie

2019, 120’, Drame, Polar, Adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaître
Réalisateur : Nicolas Boukhrief
Avec : Pablo Pauly, Sandrine Bonnaire, Philippe Torreton, Charles Berling

1999 – Olloy – Les Ardennes belges. Un enfant vient de disparaître. La suspicion qui touche tour à tour plusieurs habitants du village met rapidement la communauté à incandescence. Mais un événement inattendu et dévastateur va soudain venir redistribuer les cartes du destin…

samedi 14 janvier, 19h00

L’Assassin habite au 21

1942, 84, Polar, Adaptation du livre éponyme de Stanislas-André Steeman
Réalisateur : Henri-Georges Clouzot
Avec : Jean Tissier, Pierre Fresnay, Suzy Delair, Pierre Larquey, Noël Roquevert, Raymond Bussières

Quatre crimes sont commis dans le quartier de Montmartre. Tous sont signés M.Durand. Le commissaire Wens mène l’enquête et découvre les fameuses cartes de visite de la pension de famille « Les Mimosas ». Il se fait inscrire comme pensionnaire. Les méfaits continuent. Croyant avoir trouvé le coupable, Wens interroge Linz, qui avoue. Mais au même moment un nouveau crime est commis.

vendredi 20 janvier, 22h00

Les diaboliques

1954, Drame, Thriller, Epouvante-horreur, 117’
Réalisateur : Henri-Georges Clouzot
Avec : Simone Signoret, Paul Meurisse, Véra Clouzot et Charles Vanel

Dans une institution destinée à l’éducation des jeunes garçons, Christina et Nicole, respectivement épouse et maîtresse du directeur Michel Delasalle, s’associent afin d’assassiner l’homme qu’elles ont fini par haïr. Mais quelques jours après leur méfait, le corps de Michel disparaît.
Adaptation du roman ce Pierre Boileau et Thomas Narcejac, ce récit policier, sommet du film à suspense, illustre avec efficacité la noirceur du cinéma de Clouzot.

Entrée libre. La séance fait partie de la Nuit de la lecture.

samedi 21 janvier, 19h00

Les yeux sans visage

1959, 88’, Drame
Réalisateur : Georges Franju
Avec : Pierre Brasseur, Alida Valli, Edith Scob

Le professeur Génessier a un accident de voiture avec sa fille Christiane. Défigurée par ce drame, celle-ci reste cloitrée. Génessier, pris de culpabilité, a décidé de réorienter ses recherches vers les greffes de peau. Dans son laboratoire, il pratique de sadiques expériences sur des êtres vivants. Christiane, sans se douter des terribles pratiques de son père, rêve à sa beauté d’autrefois…

IFcinéma à la carte est de retour en décembre avec une édition d’une dizaine de courts et de longs métrages français, disponible gratuitement en ligne, partout dans le monde (hors France)entre le 1er et le 31 décembre 2022 !

Bon film ! Cliquez ici

Au programme :

(certains films sont proposés sous-titrés en langue bulgare)

Fiction

Animation

Documentaire

Commissaire : Maria Vassileva, dr ès Arts
16/12/2022 – 19/03/2023, Galerie nationale – Le Palais
(1, place Kniaz Alexandre I, Sofia)

Vernissage : vendredi 16 décembre, 18h00

La Galerie nationale présente Georges Papazoff, un peintre dont le parcours artistique s’étend de Yambol à Paris. Cette importante exposition, qui commémore le cinquantenaire de son décès, constitue la première grande rétrospective de l’artiste en Bulgarie, après l’exposition Georges Papazoff. Œuvres du fonds du Musée Petit Palais, Genève en 1988 à Sofia.

Georges (Gueorgui) Papazoff est né en 1894 à Yambol, Bulgarie, et décède en 1972 à Vence, France. En 78 ans, il parcourt l’Europe, entre sa ville natale et les grandes capitales européennes, vit à Prague, Vienne, Munich, Berlin et Paris, où il s’installe définitivement en 1924. Dans son Dictionnaire du surréalisme, paru en 1982 à Paris, l’écrivain et historien d’art Édouard Jaguer nous apprend, que « Papazoff est certainement l’un des précurseurs de ce que l’on appelle aujourd’hui le surréalisme abstrait du milieu des années 20, au côté de Miro, Ernst, Malkin et Masson ». Son œuvre est associée à l’expressionnisme, au cubisme, au fauvisme et au dadaïsme. Son imagination sans bornes le transporte à travers une multitude de mouvements stylistiques et divers courants de pensée.

Bien que difficile à classer dans une école artistique particulière, force est de constater que Georges Papazoff embrasse assurément l’esprit de découverte et d’expérimentation de la première moitié du XXe siècle.

La commissaire Maria Vassileva, docteur en histoire de l’art, a sélectionné une centaine d’œuvres (peintures et dessins) issues des fonds de la Galerie nationale de Sofia, de la Galerie d’art Georges Papazoff de Yambol, de l’Association des Amis du Musée du Petit Palais de Genève, du Musée national d’Art moderne de Zagreb, Croatie, et de la collection de l’entreprise Universal Investment Advisory SA, Genève. La plupart sont exposées pour la première fois en Bulgarie.

Le design de l’exposition, conçu par les architectes Kirill Ass et Nadia Korbut, se développe avec un souci de chronologie dans 7 salles du deuxième étage du Palais et propose une lecture thématique de l’œuvre de l’artiste dans le contexte du surréalisme européen. Les visiteurs auront l’occasion de découvrir ses dessins précoces, créés à Prague et provoqués par ses contacts avec les expressionnistes allemands à Munich ou Berlin, mais aussi les frottages et compositions au sable des années 1920. On découvrira des œuvres inspirées par des motifs folkloriques bulgares : « Le tablier » (1927), « Le feu » (1925-1926), « Composition » (vers 1925), « La force bulgare » (1928).

Une place centrale revient au portrait de la mère de l’artiste, ainsi qu’à des tableaux dédiés à son ami André Derain. Un portrait de Georges Papazoff par Derain est également exposé. Parmi les accents de l’exposition, on aura du plaisir à contempler la version Papazoff (1957) du Rêve de la Bohémienne endormie (1897) de Douanier Rousseau, exposée aux côtés des séries « Chiens de cirque » et « Gladiateurs » produites à la même époque.

L’artiste trouve une source d’inspiration dans la mer et crée nombre d’œuvres sur des sujets marins, de même que des paysages de la région de Dordogne. Il consacre une part importante de son activité à la série des « Baigneuses » qu’il développe entre 1920 et 1960. Une place particulière revient aux dessins et peintures de la série « Éclaireurs », liée à ses souvenirs de guerre. Les cônes lumineux des prospecteurs de la ligne de front se retrouvent sous forme d’éléments constructifs dans nombre d’œuvres de Papazoff et contribuent à conférer un style original portant des traces de cubisme, de futurisme et de surréalisme. Leur profonde symbolique prédispose à s’emparer du nom de la série pour titre de l’exposition.

Maria Vassileva est auteure d’un riche catalogue (en bulgare, français et anglais) contenant des reproductions d’œuvres de Papazoff, quelques analyses rares et informations peu connues sur la vie et l’activité de l’artiste. Son étude définit la place de Papazoff dans le contexte des mouvements artistiques novateurs de la première moitié du XXe siècle et révèle sa participation et sa contribution à leur confirmation. La Galerie nationale publie un catalogue (en bulgare et en anglais) des œuvres de Georges Papazoff qu’elle possède. La traduction en bulgare de l’autobiographie de Georges Papazoff (titre original en français Sur les pas du peintre. Suivi de documents et témoignages », Galerie de Seine, Paris, 1971) sera également disponible dans les librairies du Palais et du Carré 500.

Parallèlement à l’exposition au Palais, dans la salle 7 du Carré 500, espace traditionnellement réservé aux œuvres de Papazoff détenues par la Galerie nationale, seront exposés des tableaux de Papazoff prêtés par les galeries d’art de Sliven et Yambol.

L’exposition est réalisée grâce au soutien financier du ministère de la Culture et avec l’aimable coopération de M. Gueorgui Vassilev et Universal Investment Advisory SA, Genève.

La mise en œuvre du projet a été soutenue par un comité d’honneur composé de :
Gueorgui Vassilev, Collectionneur et philanthrope
Georgi Gospodinov, écrivain
Irina Petrescu, Attachée culturelle, Institut français de Bulgarie
Kiril Valchev, Directeur général de l’Agence bulgare de presse
Marina Ludemann, Directrice du Goethe Institut, Sofia
SEM Raymund Furrer, Ambassade de Suisse en Bulgarie

Ce Week-end, à l’occasion de la finale de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, l’Institut français de Bulgarie en partenariat avec la Ville de Sofia, Marie Brizard et Kamenitza vous propose de vivre ensemble le match de finale qui opposera la France et l’Argentine dans la „salle Slaveykov“ ce dimanche !

Ils l’ont fait! Les Bleus se sont qualifiés en finale face à l’équipe marocaine ce mercredi 14 décembre ! Les deux équipes nous ont offert un beau spectacle sportif et c’est désormais pour le grand final que nous pourrons retrouver l’équipe de France, ce dimanche, le 18 décembre 2022, à partir de 17:00 heures (heure locale) pour les encourager et peut être les voir décrocher leur troisième étoile ! Cet évènement si spécial est l’occasion pour nous de vous convier à partager un chaleureux moment de sport, de cohésion, et peut être même la victoire !

Venez profiter d’un grand écran et d’une ambiance à la hauteur d’une finale de Coupe du monde ! L’Institut ouvrira ses portes dès 16h30 afin de permettre a tous de s’installer tranquillement et d’échanger.

Dans le cadre de cet évènement, nous auront le plaisir de proposer aux supporters présents de la bière et du vin, grâce à nos partenaires Kamenitsa et Marie Brizard. N’oubliez pas vos drapeaux!

Nous vous attendons donc dimanche, à partir de 16h30 en salle Slaveykov, au cœur de l’Institut français de Bulgarie, 3, place Slaveykov, Sofia.

Entrée libre.

Tous ensembles derrière les bleus!

L’Institut français de Bulgarie ouvre ses portes à l’occasion de la Nuit de la lecture sur le thème de la peur dans la littérature le 20 janvier 2023 à partir de18h00 jusqu’à minuit.

Des contes aux histoires fantastiques, des récits de science-fiction dystopiques aux enquêtes policières, jusqu’aux récits et essais contemporains qui traitent de nos effrois intimes et collectifs face aux crises que nous traversons, le motif de la peur traverse la littérature et nous invite à explorer toutes les formes de narration, tous les formats de lecture… en particulier la nuit !

Cette manifestation autour de la lecture et du plaisir de lire invite petits et grands lecteurs toute la soirée du 20 janvier à partir de 18 heures à venir découvrir de nombreux événements et activités

Programme

Lectures de livres qui font peur en français et en bulgare

Médiathèque :

18h00 -20h00

18h30 Guéorgui Gospodinov – « Physique de la mélancolie » ; « Les crises invisibles », « La langue sauvée » d’Elias Canetti

19h30 Théodora Dimova – « Les dévastés », lecture en français et en bulgare

Lectures d’élèves des lycées 18 et 33 – «NEO» de Michel Bussi

20h00 -22h00

Lectures des œuvres de Verlaine, Maupassant, Beaudelaire, Vénus Khoury-Ghata, Dominique Elviran Tzvetan Todorov – « La peur des Barbares »

Fred Vargas –   «Sous les vents de Neptune »

Sophie Hénaff – «Art et décès»

Joël Dicker – «La Vérité sur l’affaire Harry Quebert»

Poésies de Victor Hugo, Verlaine, Gibran, Sully de Prudhomme

«La belle au bois dormant» – version originale

«Les oubliés»

Guy de Maupassant  – « La nuit »

Amélie Nothomb – « Hygiène de l’assassin », lecture en bulgare

SALLE HOTEL DE VILLE – 18h00 -19h30

Victor Hugo – «Le dernier jour d’un condamné à mort»

Fred Vargas – «Sous les vents de Neptune»

Kamelia Koucher – «Maison», lecture en bulgare

«Les oubliés»

Sophie Hénaff – «Art et décès»

Joël Dicker – «L‘affaire Alaska Sanders»

Maria Makedonska – «Eux, le vent» et «Metch et Muh»

SALLE OPERA – 19h00 -20h00

Récits sur Polynésie

Maurice Leblanc – «L’aiguille creuse»

Stephen King  – « Misery»

Victor Hugo – extraits

Guy de Maupassant  – « La nuit »

Boris Vian – «L’écume des jours» 

Dimitar Voev – poésies

Petar Kanev – poésies

Jean-Luc Emery  – «Surmontez vos peurs » 

SALLE ODEON – 18h30 -20h00

La Fontaine – « Fables »

Laurent Gounelle –  « Intuitio »

«La belle au bois dormant» – version originale

Morfi Skarlatov – « Gouttes de l’océan »

Jean-Christophe Grangé – «Les rivières pourpres»

SALLE BASTILLE – 18h00 -19h00

Elèves du lycée 134 lisent Edgar Alan Poe

SALLE CONCORDE – LECTURES POUR LES ENFANTS 18h00 – 20h00

Eric-Emmanuel Schmitt  – « Le chaton qui avait peur du tout »

Emmanuelle Piquet«Je n’ai plus peur de mes peurs»

«Les mots qui font peur»

Thibault Prugne, lecture en bulgare – « Renard et petit Georges »

Sempé&Goscinny  – « Le petit Nicolas – même pas peur»

Gérard Franquin – «Les enfants me donnent des boutons»

Irena Parvanova – « Conte du pays lointain », lecture en bulgare

« 50 énigmes incroyables » – Slavi Panayotov

« 50 endroits intéressants en Bulgarie » – Slavi Panayotov

SALLE SLAVEYKOV

18h00 – 19h30

Lectures des élèves du Lycée français Victor Hugo – extraits de la mythologie grecque ; Nouvelles fantastiques ; « Monstres et fantômes »

20h00 – 20h30

Récital de Véra Nikolova, mezzo-soprano et Margarita Ilieva, piano

Programme :

22h00

CINEMA

Projection du film « Les Diaboliques » 1954, Drame, Thriller, Epouvante-horreur, 117’
Réalisateur : Henri-Georges Clouzot
Avec : Simone Signoret, Paul Meurisse, Véra Clouzot et Charles Vanel

Dans une institution destinée à l’éducation des jeunes garçons, Christina et Nicole, respectivement épouse et maîtresse du directeur Michel Delasalle, s’associent afin d’assassiner l’homme qu’elles ont fini par haïr. Mais quelques jours après leur méfait, le corps de Michel disparaît.
Adaptation du roman ce Pierre Boileau et Thomas Narcejac, ce récit policier, sommet du film à suspense, illustre avec efficacité la noirceur du cinéma de Clouzot.

Entrée libre. Pour tous les publics.

Merci à tous ceux qui souhaitent prendre part à cet événement en tant que lecteurs bénévoles et de venir lire à voix haute un extrait de livre (10 à 15 minutes maximum), de se signaler avant le 10 janvier et d’indiquer leur disponibilité entre 18h00 et minuit. La lecture peut se faire en français ou/et en bulgare. La médiathèque peut mettre à votre disposition une sélection de textes et des livres.

Pour nous contacter :
mediatheque@institutfrancais.bg
02 937 79 35

Créées en 2017 par le ministère de la Culture pour fédérer acteurs du livre et lecteurs et célébrer le plaisir de lire, les Nuits de la lecture, sont organisées depuis 2022 par le Centre national du livre (CNL). En 2023, pour la première fois l’Institut français de Bulgarie lance l’événement à Sofia.

Le samedi 17 décembre de 11h00 à 15h00

Vous aimez les jeux vidéo ? Vous aimez le foot ?

Inscrivez –vous dès maintenant à notre tournoi FIFA 2023 et venez jouer à la médiathèque !

Le 17 décembre à 11 heures à la médiathèque de l’Institut français on va élire notre champion du monde !

Entrée libre
Inscription obligatoire, places limitées!

Pour s’inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél : 02 9 37 79 35

L’Institut français de Bulgarie propose une série de débats sur un enjeu environnemental majeur pour nos villes : les déchets. Le rapport aux déchets, l’utilisation et le recyclage que nous en faisons, mais aussi notre capacité à limiter les déchets ou à les voir comme une ressource et une richesse interroge notre capacité à vivre en collectivité. Face aux ambitions fixées par l’Union européenne et à la crise environnementale, sommes-nous à la hauteur des enjeux ?

Des innovations existent, mais elles demeurent trop souvent mal connues. L’Institut français de Bulgarie donne la voix aux chercheurs, acteurs associatifs et décideurs locaux pour renouveler notre regard, répondre aux enjeux et présenter des approches innovantes dans ce domaine.

Langues : français / bulgare (traduction simultanée)

Mardi 13 décembre 12h00-13h00, salle « Slaveykov » de l’Institut français de Bulgarie : « Déchets : et si les solutions existaient déjà ? »

Cette conférence s’intéresse aux nouvelles perspectives de recyclage des déchets, grâce à la recherche scientifique et à l’innovation technologique. Les Déchets d’Équipements Électriques et Électroniques (DEEE), contiennent de nombreuses matières recyclables. Dans le contexte actuel d’épuisement des ressources naturelles, l’exploitation de ces mines, riches en matériaux plastiques et en métaux rares, est essentielle au développement d’une économie circulaire respectueuse de l’environnement et des citoyens.

Vincent SEMETEY, directeur de recherche CNRS à Chimie ParisTech, Responsable de la Chaire ParisTech Mines Urbaines (ecosystem).

L’animation du débat sera assurée par Martin BOJINOV, Vice-recteur de l’Université de technologie chimique et de métallurgie de Sofia, en charge de la recherche.

Mardi 29 novembre 12h00-14h00, salle « Slaveykov » de l’Institut français de Bulgarie : « De la gestion des déchets à la gestion des ressources »

Ce débat abordera la question des choix politiques nécessaires pour sortir de l’économie du gaspillage et passer à une économie circulaire. Les problématiques seront centrées sur la gestion des déchets en ville : comment limiter les déchets ? comment les trier, les recycler ? Comment cela peut ou doit modifier notre manière de gérer les politiques publiques et nos modes de décisions ?

Fabrizio Maccaglia (Université de Tours) maître de conférences en géographie, spécialiste des politiques locales de gestion des déchets.

Radosveta Krastanova, docteure en science politique, Département d’économie, Nouvelle université bulgare, spécialiste de l’histoire des mouvements écologistes en Bulgarie, de villes durables et d’économie circulaire.

Assya Dobroudjalieva est présidente du Conseil d’administration de l’Association des experts environnementaux des municipalités bulgares et cheffe de projets à la fondation « Habitat for humanity Bulgaria ». Son expérience professionnelle commence à la municipalité de Kardjali où elle est cheffe de service « Protection de l’environnement » pendant 18 ans. Elle a été directrice de l’Association régionale des municipalités pour la gestion des déchets « Pour dépolluer les Rhodopes ». Assya a plus de 20 ans d’expérience en matière d’application de la législation sur environnement, de gestion de l’environnement et d’élaboration et mise en œuvre de projets au niveau local et national.

Les présentations de la conférence peuvent être téléchargés sur le lien ci-dessous:

Présentation de Fabrizio Maccaglia

Jeudi 10 novembre 12h00-14h00, en ligne : « L’économie circulaire : illusion ou nécessité ? »

Souvent perçus comme un problème et un coût, les déchets sont porteurs de solutions pour l’économie circulaire de demain.  Les solutions ne viennent-elles pas toujours d’en bas ? Ce débat portera sur le rôle des acteurs non politiques : que peuvent faire les entreprises, les associations et les citoyens pour aller vers une économie de recyclage, de réparation et d’économie circulaire ?

Cette rencontre présentera un tour d’horizon de plusieurs pays européens, avec des exemples de France, de Bulgarie, de Pologne et de Roumanie.

Helen Micheaux, est maîtresse de conférence en gestion de l’environnement à AgroParisTech. Elle abordera les sujets de la responsabilité des producteurs et des industriels dans la chaine d’économie circulaire.

Virginie Little présentera les bénéfices de l’économie circulaire avec des exemples de Pologne. Virginie est consultante en développement durable, a co-initié le premier Salon Zéro Déchet en Pologne (qui en est à sa 8e édition) et organise de nombreuses formations à l’environnement pour adultes et enfants.

Damien Thiery présentera ses actions innovantes pour récupérer et réutiliser des ordinateurs à Bucarest en coopérant avec les associations et les entreprises. Il est directeur général de Ateliere Fara Frontiere. Il a travaillé dans le secteur privé en France, au Royaume-Uni et en Roumanie, développant une expertise en finance d’entreprise, optimisation de production et ressources humaines. Damien a rejoint Ateliere Fără Frontiere pour développer les trois ateliers d’économie circulaire de l’organisation dans lesquels les personnes défavorisées reçoivent le soutien personnalisé dont elles ont besoin pour reprendre le contrôle de leur vie en rejoignant le marché du travail conventionnel.

Evguenia Tasheva, coordinatrice « Zéro déchets » chez l’association écologique « Za Zemiata », rappellera les défis et les atouts de la Bulgarie dans la gestion des déchets.

Le lien pour participer au premier évènement en ligne : CLIQUEZ ICI POUR VOUS CONNECTER A L’EVENEMENT SUR ZOOM le 10 NOVEMBRE 12h-14h (HEURE DE SOFIA)

L’Institut français de Bulgarie et la maison d’édition List ont le plaisir de vous inviter à la présentation du livre « Les années » d’Annie Ernaux

Le 13 décembre, mardi, à 18h30 à la Médiathèque de l’Institut français, 3 pl. Slaveykov

ENTREE LIBRE!

Le livre:

Au travers de photos et de souvenirs laissés par les événements, les mots et les choses, Annie Ernaux nous fait ressentir le passage des années, de l’après-guerre à aujourd’hui. En même temps, elle inscrit l’existence dans une forme nouvelle d’autobiographie, impersonnelle et collective.

L’auteur :

Annie Ernaux a grandi en Normandie – à Lillebonne où elle est née en 1940, puis à Yvetot, où ses parents ont déménagé quelques années plus tard pour tenir un café-épicerie. En 1960 elle part travailler à Londres. Après son retour en France elle fait ses études à l’université de Rouen et après à Bordeaux, obtient un diplôme d’enseignante et fait un master en littérature contemporaine. En 1974 elle publie son premier livre Les Armoires vides. Son roman“Les années” obtient le prix ”Strega” et a été sélectionné pour le prestigieux Man Booker International. En 2022 Annie Ernaux reçoit le prix Nobel de la littérature « pour le courage et l’acuité clinique dont elle fait preuve pour révéler les racines, la distanciation et les contraintes collectives de la mémoire personnelle ».