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Recruitment procedure for the academic year 2023-24 International students

In January 2023 Sciences Po Grenoble opened its recruitment procedure for the academic year 2023-24. International students with good command of English (B2+) may apply from 4 January to 10 February 2023 (first session). Another recruitment session will open in March-April 2023.

You can join our Bachelor three-year program “Politics and International Studies” taught in English, while learning French, and then join one of our master’s program to get the renowned Sciences Po Grenoble diploma.

You are looking for an excellent higher education combined with an awesome living environment, Sciences Po Grenoble is the place to be!

Please find further information on the program and the recruitment procedure HERE

For any question, please contact: contact-internationalprogram@sciencespo-grenoble.fr

Beaux-Arts International regroupe trois formations de l’école des beaux-arts Nantes Saint-Nazaire à destination des étudiants internationaux.

La Classe Préparatoire Internationale (Site de Saint-Nazaire) aussi appelée les Ateliers de l’Estuaire prépare aux concours d’entrée en 1e année des écoles supérieures d’art et de design en France et en Europe en associant matières artistiques et mise à niveau en français. Nouveau en 2023 un axe de préparation pour l’entrée dans le cursus du DNA Art Science à compter de 2024.

Le Programme Équivalence (Site de Saint-Nazaire) prépare à l’admission parallèle dans les écoles supérieures d’art, d’architecture et de design en France et en Europe en associant cours de spécialité, accompagnement personnalisé et mise à niveau en français.

Appel à candidatures : date limite de dépôt des candidatures le 31 mai 2023

Les étudiants peuvent s’inscrire  sur notre site https://beauxartsnantes.fr/international/beaux-arts-international#section-5

Paris 2024 a dévoilé le parcours du marathon olympique, et des deux épreuves proposées au Grand Public dans le cadre du Marathon Pour Tous : le parcours de 42,195 km et le 10 km.

Un parcours spectaculaire, inspirant et exigeant

Pour le marathon olympique, l’une des épreuves les plus emblématiques des Jeux, Paris 2024 a dévoilé un parcours inédit.

Pour tracer le parcours de cette épreuve mythique, Paris 2024 a fait le choix de s’inspirer de la « marche des femmes » des 5 et 6 octobre 1789, durant laquelle entre 6000 et 7000 Parisiennes, rejointes par des hommes, traversèrent Paris, Sèvres, Saint-Cloud pour se rendre à Versailles et ramener le roi aux Tuileries.

Avec un départ sur le parvis de l’Hôtel de Ville et une arrivée sur l’Esplanade des Invalides, le parcours sillonnera quelques-uns des plus beaux sites et monuments de Paris et de sa région. 42,195 km d’une course mythique, avec pour décor la Pyramide du Louvre, le Grand Palais, le Château de Versailles, la Tour Eiffel…

Le marathon olympique présente également un profil sportif inédit, avec des dénivelés globaux entre le départ et l’arrivée de + 438 m et – 436 m. C’est un parcours unique, spécialement conçu pour les Jeux de Paris 2024, exigeant et technique. Ce parcours a été validé par la World Athletics.

“Avec son profil inédit, le Marathon de Paris 2024 représente un très beau défi sportif pour les athlètes, dans un cadre somptueux. Cette course, plus incertaine que jamais, promet d’être mythique ! » – Paula Radcliffe, détentrice du record du monde féminin entre 2003 et 2019

“Le Marathon de Paris 2024 aura forcément une saveur particulière. Performer dans un cadre aussi impressionnant, chargé d’Histoire et de symboles, c’est une expérience unique. Je ne pouvais espérer de plus belle course pour les Jeux” – Eliud Kipchoge, double champion olympique du marathon et recordman du monde de la distance

“Paris 2024 nous offre un parcours ultra riche, en symboles, en spectacle, en défis sportifs. Relever ce défi ici, dans mon pays, c’est l’ambition d’une vie !” – Yohan Durand, membre de l’Equipe de France de marathon

Une épreuve pour la première fois de l’histoire ouvert à la participation du grand public

Avec le Marathon Pour Tous, le grand public va pouvoir se mettre dans la peau d’un athlète, et courir le Marathon sur le même parcours que les athlètes olympiques. 

Pour que cette expérience soit réellement ouverte à tous, Paris 2024 proposera au-delà de la traditionnelle distance de 42,195 km (à partir de 20 ans) une course de 10 km accessible au plus grand nombre (à partir de 16 ans).

Avec 20,024 participants par course, Paris 2024 s’adresse aussi bien aux sportifs confirmés qu’aux débutants, et offre au plus grand nombre la possibilité unique de faire les Jeux et de vivre une expérience sportive, festive et populaire qui laissera à chaque participant un souvenir unique.

Retrouvez toutes les informations pour gagner votre dossard, dès maintenant sur https://club.paris2024.org/fr/accueil

Texte et photo : #Paris2024

Dans le cadre de l’exposition « Georges Papazoff, l’éclaireur », l’Institut français de Bulgarie et La galerie nationale ont le plaisir de vous présenter la conférence de Xavier Rey, directeur du Musée national d’Art moderne du Centre Pompidou intitulée : Le musée d’art aujourd’hui : collection, financement, développement du public.

Mercredi 15 février à 18h00, Salle de bal du Palais, 1, pl. Kniaz Alexandre I

Traduction simultanée en français-bulgare.

La conférence sera suivie d’un échange avec le public.

Entrée libre.

Xavier Rey, ancien élève de l’École normale supérieure, est commissaire d’exposition et conservateur diplômé par l’Institut national du patrimoine. Il a été directeur des collections du Musée d’Orsay, puis directeur des Musées de Marseille de 2017 à 2021.

Depuis 2021, il dirige le Musée national d’art moderne-Centre de création industrielle.

Projections mensuelles gratuites pour les élèves et les enseignants, organisées par l’association Arte Urbana Collectif en partenariat avec l’Institut français de Bulgarie.

Toutes les projections sont suivies de discussions et/ou d’ateliers pratiques.

Entrée libre après inscription à l’adresse suivante : cinedbulgaria@gmail.com

05.04.2023 (mercredi), 16:30L’envers d’une histoire

réalisé par Mila Turajlić / Serbie-France / 2017 / 104 min.

Un documentaire qui suit la conversation intime entre une mère et sa fille sur un conflit qui divise non seulement leur appartement, mais aussi leur pays.

L’un des sujets du film est de lier la biographie intime, individuelle qui s’inscrit dans le collectif et dans l’histoire. « L’envers d’une histoire » fait référence à cette pression que l’Histoire, en temps de crise, d’événements majeurs, de troubles politiques, exerce sur les vies individuelles.

Le film retrace les histoires du passé qui rejoignent le présent à travers les souvenirs de la mère de Mila et les documents d’archives qui détaillent les processus politiques depuis la libération de Belgrade en 1945, les manifestations étudiantes de 1968, les guerres balkaniques des années 1990 initiées par Milosevic, les bombardements de la Serbie par l’OTAN en 1999, et la chute du dictateur en 2000.

Le film fait partie du projet « My Place in Cinema », soutenu par le Fonds bulgare des femmes et l’Institut français de Bulgarie.

04.04.2023 (mardi), 14:00 – Programme de courts métrages expérimentaux et d’avant-garde

En présentant ce programme, nous ouvrons la porte à des titres étonnants et méconnus pour aiguiser la sensibilité et encourager la créativité de tous, et ce dès le plus jeune âge. Le cinéma expérimental ne raconte pas d’histoires, mais il peut montrer les aventures de personnages étranges : les formes, les couleurs, les matières. Ces films portent en eux une part d’enfance, car ils laissent libre cours à toutes les formes de créativité – dessin pour le plaisir, détour pour de nouvelles découvertes, destruction afin d’explorer de l’intérieur les rouages techniques et créatifs du cinéma.

Les films du programme qui seront projetés : Danse excentrique, Alice Guy (1902) – 2’, Opus III, Walter Ruttmann (1924) – 6’, Notes on the Circus, Jonas Mekas (1966) – 12’, Schatten (Shadows), Hansjürgen Pohland (1960) – 10’

Le programme fait partie de la collection CinEd – Éducation au cinéma pour les enfants et les jeunes

21.03.2023 (mardi), 16:00 – Cléo de 5 à 7

réalisé par Agnès Varda / France / 1962 / 90 minutes

Le film Cléo 5 à 7 suit l’histoire d’une femme luttant contre ses propres peurs et sa vanité. Ce film n’est que le deuxième long métrage d’Agnès Varda, mais c’est un pur chef-d’œuvre avec son histoire simple mais réalisée de façon magistrale et techniquement complexe.

Varda choisit de présenter l’image d’une femme qui attend pendant deux heures les résultats de sa biopsie, et transforme son histoire en un film visuellement excitant et formellement audacieux. Le film est sorti sur grand écran en 1962, et outre l’image non conventionnelle qu’il présentait, il montrait également le cadre cosmopolite de Paris – un film qui reste pertinent et intriguant à ce jour.

Le film fait partie de la plateforme IF cinéma et du projet « Ma place au cinéma ».

14.03.2023 (mardi), 14:00 – Les 400 coups

réalisé par François Truffaut / France / 1959 / 95 minutes
Incompris par ses parents, Antoine Doinel, douze ans, est un élève très turbulent. Puni à plusieurs reprises, il décide de s’enfuir de l’école. Pendant quelques jours, il mène une vie libre en compagnie de son ami René, allant jusqu’au petit larcin pour survivre. Jusqu’à ce que la police intervienne.
Le film fait partie de la plateforme IF cinéma

07.02.2023 (mardi), 14:00 – Programme de courts métrages expérimentaux et d’avant-garde

En présentant ce programme, nous ouvrons la porte à des titres étonnants et méconnus pour aiguiser la sensibilité et encourager la créativité de tous, et ce dès le plus jeune âge. Le cinéma expérimental ne raconte pas d’histoires, mais il peut montrer les aventures de personnages étranges : les formes, les couleurs, les matières. Ces films portent en eux une part d’enfance, car ils laissent libre cours à toutes les formes de créativité – dessin pour le plaisir, détour pour de nouvelles découvertes, destruction afin d’explorer de l’intérieur les rouages techniques et créatifs du cinéma.

Parmi les films qui font partie du programme: Opus III, Walter Ruttmann (1924), Impressions en haute atmosphère, José Antonio Sistiaga (1989), Chat écoutant la musique, Chris Marker (1990), Notes on the Circus, Jonas Mekas (1966), etc.

Le programme fait partie de la collection CinEd – Éducation au cinéma pour les enfants et les jeunes

16 mai 2023 – 14h00 – le titre sera annoncé prochainement

Le samedi, 4 février de 10h30 à 12h00

100 % Loup, 1h23’

Les projections sont destinées uniquement aux enfants, les parents peuvent rester à la médiathèque pendant ce temps.

Résumé : Freddy Lupin et sa famille cachent depuis des siècles un grand secret. Le jour, ils sont des humains ordinaires. Mais dès la tombée de la nuit, ils deviennent des loups-garous ! Le jour de son quatorzième anniversaire, Freddy s’attend à se transformer en loup-garou pour la première fois. Mais le soir de son initiation rien ne se déroule comme prévu et le voilà qui devient … un mignon petit caniche rose au caractère bien trempé. Sacrilège pour sa famille ! Freddy n’a plus désormais qu’un objectif : démontrer qu’il est bel et bien 100% Loup !

Conseillé à partir de 6 ans

Entrée libre
Inscription obligatoire, places limitées!

Pour s’inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél : 02 9 37 79 35

Le samedi, 28 janvier de 10h30 à 12h00

Anibo, princesse d’Amazonie, 1h20’

Les projections sont destinées uniquement aux enfants, les parents peuvent rester à la médiathèque pendant ce temps.

Résumé : Née au cœur de la forêt amazonienne, Ainbo n’a que 13 ans mais rêverait d’être la meilleure chasseuse de tout Candamo. Aussi se lance-t-elle au mépris de tous les dangers dans la lutte contre la déforestation, ce terrible fléau qui menace sa terre natale. Heureusement, elle sait que pour vaincre ses ennemis, coupeurs d’arbres et chercheurs d’or, elle pourra compter sur ses guides spirituels magiques : Vaca, un tapir aussi costaud que maladroit et Dillo, un tatou espiègle.

Conseillé à partir de 4 ans

Entrée libre
Inscription obligatoire, places limitées!

Pour s’inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél : 02 9 37 79 35

Au mois de février, l’Institut français de Bulgarie confie sa programmation hebdomadaire au remarquable réalisateur bulgare Kamen Kalev. Lors de cette « carte blanche » où il mêle films français et bulgares, Kamen Kalev présentera au public les films qu’il a choisis. Et invite les réalisateurs bulgares Svetoslav Draganov et Ilian Metev ainsi que le journaliste Radoslav Chichev à des sessions de questions-réponses.   

Avant-propos de Kamen Kalev

C’est pour moi une grande joie de pouvoir partager aujourd’hui avec vous les films qui m’ont fortement marqué personnellement ! 

Les films que j’ai envie de voir ou de tourner ne ressemblent souvent à rien d’autre qu’à eux-mêmes. Cela ne veut pas forcément dire qu’ils sont hermétiques, difficiles d’accès, bien au contraire. En fait, ce sont des films généreux et courageux, au point d’être réellement universels. La vie n’est jamais schématique et je crois que quand un film sort des systèmes de narration conventionnels, il nous offre souvent des expériences bien plus bouleversantes, qui restent gravées dans nos mémoires pour la vie.  

J’ai choisi des films récents. Seul le film de Claire Denis, “Beau travail”, remonte à 1999.  En très peu de temps, ce film est devenu culte.   

De son côté, “Entre les murs” a reçu la Palme d’Or à Cannes et pourtant, ce film n’est pas bien connu en Bulgarie.  

Les autres films français de la liste sont dans la même situation : ils n’ont jamais été montrés au public bulgare, ou alors seulement très peu.  

J’ai voulu également présenter deux documentaires très singuliers Sans adieu de Christophe Agou et Braguino de Clément Cogitore. Je les trouve extrêmement forts et inspirants à cause de l’affection portée par les auteurs à leurs personnages. La position des auteurs est rare et difficile et rend ces films particulièrement humanistes.

Les films de Metev et Draganov témoignent d’une force cinématographique incroyable. Pour moi ce sont des exemples du grand cinéma d’auteur mondial.  

Chaque film retenu dans la sélection propose un langage absolument unique. Les auteurs ont exprimé des façons très personnelles de voir le monde. Jean Renoir disait : “On aime une histoire parce qu’on aime le conteur. La même histoire, contée par un autre, n’offre aucun intérêt”.

Tous les films sont sous-titrés en langue bulgare.
Entrée avec un billet (tarif standard 8 BGN / tarif réduit 5 BGN) ou une carte d’abonnement.
Les retraités et les abonnés de l’Institut français bénéficient du tarif réduit.

Au programme:

vendredi 24 février, 18h30

3/4

2017, Bulgarie-Allemagne, Drame, 83’
Réalisation : Ilian Metev
Avec : Mila Mihova, Nikolay Mashalov, Todor Veltchev

Le film est en bulgare, sous-titré en français et sera suivi d’un débat avec le réalisateur Ilian Metev et Kamen Kalev. Traduction simultanée bulgare-français.
Le jeune Niki aime s’amuser. Dans la cour de son collège, sur le chemin du retour avec ses copains, en taquinant sa sœur ainée Mila dans la rue, il invente des petits jeux absurdes et se construit ainsi son propre monde. Mais Mila, elle, a du mal à se détendre : pianiste douée mais anxieuse, peu sûre d’elle-même, elle doit préparer une audition importante, et va peut-être devoir quitter sa Bulgarie natale pour des études en Allemagne, ce qui n’est pas sans perturber Niki. Todor, leur père astrophysicien, semble loin des aspirations de ses enfants.

samedi 25 février, 19h00

Braguino

2017, France-Russie, Documentaire, 50’
Réalisation : Clément Cogitore

Les familles Braguine et Kiline vivent au milieu de la taïga sibérienne à sept-cents km du moindre village. Aucune route ne mène chez eux. Seul un long voyage en bateau sur le fleuve Lenisseï, puis en hélicoptère, permet de les rejoindre. Tout autour d’eux, la taïga à perte de vue et, au milieu du village, une barrière les sépare. Vivant en autarcie au bout du monde, les deux familles se sont brouillées et refusent de se parler.

vendredi 3 février, 18h30

Humble

2022, Bulgarie-Roumanie, Drame, 1h35
Réalisation : Svetoslav Draganov
Avec : Hristo Petkov, Zdravko Dragnev, Sashka Bratanova

Le film est en bulgare, sous-titré en français et sera suivi d’un débat avec le réalisateur Svetoslav Draganov et Kamen Kalev. Traduction simultanée bulgare-français.

Vassil, réalisateur de films documentaires, a tourné le dos à sa famille pour mettre toute son énergie dans un nouveau film qui raconte l’histoire d’une famille brisée: celle d’un moine et de sa mère.
Quand il apprend que le moine se trouve dans une clinique psychiatrique et sa mère a le cancer, Vassil décide de les réunir pour tourner une scène finale émouvante pour son film.
Prix spécial du jury – Sofia International Film Festival

samedi 4 février, 19h00

Beau travail

1998, France, Drame, Guerre, 90 min.
Réalisation : Claire Denis
Avec : Denis Lavant, Michel Subor, Grégoire Colin, Bernardo Montet

Dans une base militaire française à Djibouti, un groupe de légionnaires entraînés dans des conditions extrêmes par l’adjudant-chef Galoup voit arriver la nouvelle recrue Sentain, à la beauté et au charme saisissants. Le commandant de la base, Forestier, remarque Sentain, qui de plus se montre héroïque en venant en aide à un camarade légionnaire. La jalousie de Galoup envers Sentain, exacerbée par une attirance refoulée, va alors se déchaîner. L’adjudant-chef, brisant tous les articles du code d’honneur du Légionnaire, punit Sentain, sabote sa boussole et l’envoie en marche forcée dans le désert. Sentain disparaît et Galoup sera traduit en cour martiale.

vendredi 10 février, 18h30

Février

2020, Bulgarie-France, Drame, 125’
Réalisation : Kamen Kalev
Avec : Lachezar Dimitrov, Kolyo Dobrev, Ivan Nalbantov

Le film fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020.
Aux confins de la Bulgarie rurale, Petar traverse les saisons et le temps de sa vie humble : le travail, la terre, les brebis… À l’écart du monde des hommes, il suit son chemin et accepte son destin sans regret.
Le film est en bulgare, sous-titré en français et sera suivi d’un débat avec le réalisateur Kamen Kalev et Radoslav Chichev. Traduction simultanée bulgare-français.

samedi 11 février, 19h00

Valley of love

2015, France-Belgique, Drame, 91’
Réalisation : Guillaume Nicloux
Avec : Gérard Depardieu, Isabelle Huppert

Isabelle et Gérard se rendent à un étrange rendez-vous dans La Vallée de la Mort, en Californie. Ils ne se sont pas revus depuis des années et répondent à une invitation de leur fils Michael, photographe, qu’ils ont reçue après son suicide, 6 mois auparavant. Malgré l’absurdité de la situation, ils décident de suivre le programme initiatique imaginé par Michael…

vendredi 17 février, 18h30

Entre les murs

2008, France, Drame, 128’
Réalisation : Laurent Cantet
Avec : François Bégaudeau, Agame Malembo-Emene, Angelica Sancio

François est un jeune professeur de français d’une classe de 4ème dans un collège difficile. Il n’hésite pas à affronter Esmeralda, Souleymane, Khoumba et les autres dans de stimulantes joutes verbales, comme si la langue elle-même était un véritable enjeu. Mais l’apprentissage de la démocratie peut parfois comporter de vrais risques.
Ce film a été récompensé d’une Palme d’or au Festival de Cannes 2008.

samedi 18 février, 19h00

Sans adieu

2017, France, documentaire, 99’
Réalisation : Christophe Agou

Dans le Forez, Claudette, 75 ans, et ses voisins paysans comme elle, sentent bien que la société consumériste les ignore tout en grignotant ce qui leur reste de patrimoine et de savoir-faire. Mais tous ne sont pas du genre à se laisser faire.

L’universitaire et l’essayiste Georges Banu est mort à l’âge de 79 ans le 21 janvier 2023. Codirecteur de la revue Alternatives théâtrales, il dirigeait la collection « Le temps du théâtre » chez Actes-Sud.

« C’est l’une des grandes mémoires du théâtre qui disparait » écrit Françoise Nyssen, directrice des éditions Actes Sud, et Présidente de Festival d’Avignon.

Georges Banu a consacré de nombreux travaux aux figures emblématiques de la mise en scène moderne, de Peter Brook, dont il était un spécialiste à Antoine Vitez, de Jerzy Grotowski et Tadeusz Kantor à Ariane Mnouchkine ou Giorgio Strehler devenus ses amis. Sa connaissance de la scène européenne et mondiale, son érudition et son verbe imagé ont fait de lui un spectateur particulièrement éclairé et un écrivain très apprécié.

Georges Banu a publié entre autres ouvrages Le Rouge et or (éditions Flammarion/Rizzoli), une œuvre de référence pour la poétique du théâtre à l’italienne. Il a consacré un essai intitulé Notre théâtre, La Cerisaie (Actes Sud) à l’œuvre de Tchekhov et un autre au théâtre japonais, L’Acteur qui ne revient pas (Gallimard) ainsi que « créateur » des Bouffes du Nord, dont Peter Brook. Vers un théâtre premier (Points Essais, 2005).

Il a publié Shakespeare, le monde est une scène et Les Voyages du comédien aux éditions Gallimard, et conçu et dirigé des ouvrages collectifs comme Les Voyages ou l’ailleurs du théâtre (éditions Alternatives théâtrales).
Georges Banu était président du Prix Europe pour le théâtre et avait lui-même reçu trois fois le prix du meilleur livre sur le théâtre du Syndicat de la critique ainsi que le Grand prix de la Francophonie de l’Académie française en 2014.

Photo : wikipedia.org

A l’instar des Jeux Olympiques, la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques de Paris 2024 se déroulera au cœur de Paris, offrant aux athlètes comme au grand public une expérience unique.

Le Conseil d’Administration de Paris 2024 a validé le concept de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques dans la ville pour une célébration au cœur de Paris qui s’annonce magique, entre le bas des Champs-Elysées et la place de la Concorde.

Cette décision, entérinée par le Comité International Paralympique (IPC), intervient quelques jours après le succès populaire de la toute première Journée Paralympique, le 8 octobre dernier, qui a rassemblé plusieurs dizaines de milliers de personnes sur la place de la Bastille, à Paris.

Pour la première édition des Jeux Paralympiques organisée en France, Paris 2024 voit les choses en grand et revisite le concept des cérémonies d’ouverture. Pour la première fois dans l’histoire des Jeux, les cérémonies d’ouverture des Jeux Olympiques, puis des Jeux Paralympiques se dérouleront – à quelques semaines d’intervalle – hors les stades, au cœur de Paris.

Un moment unique pour les athlètes paralympiques

Les Champs-Elysées et leur prolongement place de la Concorde seront ainsi le cadre grandiose d’une cérémonie qui s’ouvrira le 28 août 2024 avec un défilé des 4 400 athlètes des 184 délégations originaires du monde entier. Celui-ci débutera sur la partie basse des Champs-Elysées, formant une haie d’honneur symbolique, avant de se poursuivre sur la place de la Concorde, aménagée pour être accessible à toutes et tous. 65 000 personnes pourront assister à cette cérémonie, dont 30 000 en accès gratuits en bas des Champs-Elysées. Une mise en lumière exceptionnelle pour les athlètes devant le monde entier.

Linclusion au cœur des Jeux

Ces Jeux et leur cérémonie d’ouverture seront un message adressé au monde, qui porte l’inclusion comme un enjeu fondamental de notre société, en mettant en avant les Jeux Paralympiques et les athlètes sur une scène à la hauteur de leurs exploits.

« Pour mettre toute la lumière sur les exploits des athlètes paralympiques, les valeurs qu’ils incarnent et les émotions qu’ils nous font vivre, Paris 2024 a souhaité leur offrir une fenêtre d’exposition inédite en organisant la première cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques hors d’un stade, explique Tony Estanguet, Président de Paris 2024. Au-delà de ce décor inédit proposé aux plus grands athlètes et spectateurs du monde entier, cette cérémonie au cœur de la ville est un symbole fort de notre ambition de profiter de l’accueil des premiers Jeux Paralympiques dans notre pays pour placer la question de l’inclusion des personnes en situation de handicap au cœur de la société. »

Emilie Gomis fait son entrée au Conseil d’Administration de Paris 2024

Ce Conseil d’administration a également été l’occasion d’introniser Emilie Gomis, comme nouveau membre du Conseil d’Administration de Paris 2024. L’ancienne internationale de Basketball, aujourd’hui âgée de 39 ans, y fait son entrée au titre de l’une des cinq personnalités qualifiées issues du monde sportif désignées par Tony Estanguet, Président de Paris 2024. Elle prend la place laissée par Martin Fourcade qui siègera désormais au C.A. en sa qualité de nouveau membre du CIO en France (élu en marge des J.O. d’hiver de Pékin 2022).

Emilie Gomis est engagée dans les instances sportives, comme elle est investie dans le monde associatif. Elle est en effet membre de la commission des athlètes de haut-niveau du CNOSF et ambassadrice Terre de Jeux 2024 depuis novembre 2021. Elle a fondé en 2019 l’association « Tous Ego par le Sport » qui a pour but de promouvoir l’activité sportive pour tous auprès de la jeunesse, et en particulier auprès des jeunes filles. Elle est également engagée auprès de Play International, ONG pionnière dans le secteur du développement et de l’éducation par le sport.

Avec sa stratégie « économie circulaire », Paris 2024 poursuit son ambition de transformation écologique et sociale des Jeux

Le conseil d’administration a validé la stratégie d’économie circulaire pour les Jeux de Paris 2024. Ces deux dernières années, Paris 2024 a réalisé un important travail d’estimation des ressources nécessaires à la bonne tenue des Jeux. Cette estimation va permettre de trouver dès à présent, des solutions de réduction, réemploi ou recyclage en amont des phases opérationnelles de livraison.

Paris 2024 vient également de se voir officiellement attribuer la Certification ‘ISO 20121’ qui vise à encourager l’organisation d’événements plus durables et répondre ainsi aux enjeux d’accessibilité, d’héritage et de lutte contre le changement climatique. Le comité d’organisation a pu montrer une démarche d’anticipation sur toutes les étapes de livraison des Jeux avec une approche environnementale globale et transverse.

Retrouvez l’ensemble des communications de Paris 2024 en lien avec les Jeux Paralympiques ainsi que la médiathèque : https://presse.paris2024.org/

Le dossier de présentation des Jeux Paralympiques de Paris 2024 : https://presse.paris2024.org/assets/dossier-de-presentation-des-jeux-paralympiques-f055-e0190.html?lang=fr

La boutique en ligne de Paris 2024 (une sélection de produits paralympiques en vente : t-shirts Le Coq Sportif, pin’s Drago http://boutique.paris2024.org/

Pour en savoir plus sur les Jeux Paralympiques et le mouvement paralympique : https://presse.paris2024.org/assets/paris-2024-dossier-de-presentation-des-jeux-paralympiquespdf-529e-e0190.html?lang=fr https://presse.paris2024.org/ https://france-paralympique.fr/

A propos de Paris 2024

Le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 a pour mission, dans le respect du contrat de ville hôte signé entre le Comité International Olympique (CIO), le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF) et la Ville de Paris, de planifier, d’organiser, de financer et de livrer les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024.

Les Jeux Olympiques et Paralympiques sont le premier événement sportif au monde avec un impact médiatique incomparable. Ils rassemblent 10 500 athlètes olympiques et 4 400 athlètes paralympiques, provenant respectivement de 206 et 184 délégations réparties sur les cinq continents. Ils sont suivis par plus de 13 millions de spectateurs et 4 milliards de téléspectateurs du monde entier à travers plus de 100 000 heures de diffusion TV.

Ils constituent, parmi tous les événements mondiaux sportifs, économiques ou culturels, un événement inégalé, dont la puissance démultiplie les impacts. Créé en janvier 2018, le comité d’organisation est présidé par Tony Estanguet, triple champion olympique. Il est administré par un Conseil d’Administration (CA), qui réunit l’ensemble des membres fondateurs du projet : le CNOSF, la Ville de Paris, l’Etat, la Région Île-de-France, le CPSF, la Métropole du Grand Paris, le Conseil départemental de Seine Saint-Denis, les représentants des collectivités locales concernées par les Jeux, de la société civile et des partenaires sociaux.

Texte et photo : Paris2024