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La 13ème édition du Festival du film français, dédiée à notre partenaire et ami regretté Vladimir Trifonov qui nous a quittés le 3 octobre dernier, se tiendra du 18 au 30 novembre dans les cinémas d’art et d’essai de Sofia, Plovdiv et Varna.  

Comme d’habitude, l’accent sera mis sur la première en Bulgarie des 9 meilleurs films français de l’année écoulée, mais aussi sur 2 films de tous les temps, avec cette année un clin d’œil particulier à deux grands acteurs du cinéma français à l’occasion de leurs jubilés respectifs – 80 ans pour Catherine Deneuve et 75 ans pour Gérard Depardieu.  

Le Festival du film français est organisé par l’Ambassade de France en Bulgarie, l’Institut français de Bulgarie, Fondation « Imam idea », NDK et Cinémania avec le soutien de Legrand et BNP Paribas. Partenaires de l’ouverture du Festival : Bononia Estate et La Chouette Bulgarie.

Bande-annonce

BILLETS POUR LES EVENEMENTS

Tarif des billetsSofiaPlovdivVarna
Standard12 BGN10 BGN10 BGN
Réduit *10 BGN8 BGN8 BGN
Les classiques Standard10 BGN9 BGN9 BGN
Les classiques Réduit *8 BGN7 BGN7 BGN
*Les élèves, étudiants et retraités bénéficient du tarif réduit

Ouverture du festival

18/11/2023

Palais national de la culture, salle 1

16 BGN (Standard) / 14 BGN (Réduit*)

Événement spécial

20/11/2023

Lumière

Concert de l’Orchestre philharmonique des jeunes « Pioneer » et projection du film Divertimento

15 BGN (Standard) / 10 BGN (Réduit*)

Horaires d’ouverture de la caisse de l’Institut français dans la période 18-30/11
lundi – vendredi17:00 – 19:30
samedi – dimanche16:00 – 19:30

Pour les projections dans la salle Slaveykov et au Palais national de la culture, vous pouvez acheter vos billets en ligne sur les sites web institutfrancais.bg et kinomania.bg. Les abonnés de l’Institut français bénéficient du tarif réduit pour les projections salle Slaveykov.

SALLE SLAVEYKOV – BILLETS EN LIGNE

PROGRAMME

Jeanne du Barry

2023, Historique, Drame, 110’

Réalisatrice : Maïwenn Le Besco

Avec : Johnny Depp, Maïwenn Le Besco, Benjamin Lavernhe, Pierre Richard, Melvil Poupaud, Pascal Greggory, India Hair

Jeanne Vaubernier, fille du peuple, avide de s’élever socialement, met à profit ses charmes pour sortir de sa condition. Son amant le comte du Barry, qui s’enrichit largement grâce aux galanteries lucratives de Jeanne, souhaite la présenter au Roi. Il organise la rencontre via l’entremise de l’influent duc de Richelieu. Celle-ci dépasse ses attentes : entre Louis XV et Jeanne, c’est le coup de foudre… Avec la courtisane, le Roi retrouve le goût de vivre – à tel point qu’il ne peut plus se passer d’elle et décide d’en faire sa favorite officielle. Scandale : personne ne veut d’une fille des rues à la Cour.

Un vrai petit bijou cinématographique, qui nous plonge dans une ambiance subtile dans un décor de rêve. On se laisse emporter par les extravagances de la cour, le faste de Versailles, des rituels, des costumes… Un Johnny Deep charmant, tout en délicatesse et une Maïwen libre, fraiche, radieuse et sensuelle, moderne et en avance sur son temps.

Cérémonie d’ouverture du festival du film français

le 18 novembre à partir de 19h00 dans la salle n° 1 du Palais national de la culture

le 30 novembre à 19h00 à l’Institut français de Bulgarie

Anatomie d’une chute

2023, Drame, 150’

Réalisatrice : Justine Triet

Avec : Sandra Hüller, Samuel Theis, Swann Arlaud, Jehnny Beth

Sandra, Samuel et leur fils malvoyant de 11 ans, Daniel, vivent depuis un an loin de tout, à la montagne.
Un jour, Samuel est retrouvé mort au pied de leur maison. Une enquête pour mort suspecte est ouverte. Sandra est bientôt inculpée malgré le doute : suicide ou homicide?

Un an plus tard, Daniel assiste au procès de sa mère, véritable dissection du couple.

La réalisatrice brosse le portrait vertigineux d’une femme accusée du meurtre de son mari, jouée par Sandra Hüller, qui excelle dans ce rôle trouble et impur.

Dernière Palme d’or au Festival de Cannes, ce film renvoie à Autopsie d’un meurtre d’Otto Preminger sorti en 1959.

Une « chute » qui a causé la mort, mais aussi une « chute » qui est disséquée par le tribunal – celle d’un couple, dont on devine un passé heureux, mais qui a fini par glisser dans la déprime et la violence. Mais encore, la « chute » d’une femme puissante qui est petit à petit mise à nue et à terre par le broyage d’un tribunal.

Dom na kinoto, 18.11, 20:00

Institut français, 19.11, 17:00

Cinéma Odéon, 22.11, 19:30

Lumière, 23.11, 19:00

Cinéma Lucky Plovdiv, 25.11, 18:00

Euro cinéma, 26.11, 15:00

Palais des congrès et des festivals de Varna (salle 1), 26.11, 18:00

Institut français, 27.11, 19:00

Vlaykova, 28.11, 19:30


Divertimento

2023, Drame, Biopic, 110’
Réalisateur : Marie Castille Menton-Schaar
Avec : Oulaya Amamra, Lina El Arabi, Niels Arestrup
 
À 17 ans, Zahia Ziouani rêve de devenir cheffe d’orchestre. Sa sœur jumelle, Fettouma, violoncelliste professionnelle. Bercées depuis leur plus tendre enfance par la musique symphonique classique, elles souhaitent à leur tour la rendre accessible à tous et dans tous les territoires.
Alors comment peut-on accomplir ces rêves si ambitieux en 1995 quand on est une femme, d’origine algérienne et qu’on vient de Seine-Saint-Denis ? Avec détermination, passion, courage et surtout le projet incroyable de créer leur propre orchestre : Divertimento.
Histoire qui raconte une belle leçon de courage et de persévérance, tirée de faits réels.

Pour les amateurs de musique classique, le film sera présenté lors d’un ciné-concert au cinéma Lumière précédé par un concert de l’Orchestre philharmonique des jeunes « Pioneer », fondé en 1952.

Lumière, 20.11, 19:00

Second tour

2023, Comédie, 97’

Réalisateur : Albert Dupontel

Avec : Cécile de France, Albert Dupontel et Nicolas Marié

Journaliste politique en disgrâce placée à la rubrique football, Mlle Pove est sollicitée pour suivre la campagne présidentielle en cours. Le favori est un quinquagénaire, héritier d’une puissante famille française et novice en politique. Troublée par ce candidat qu’elle a connu moins lisse par le passé, Mlle Pove se lance dans une enquête aussi étonnante que jubilatoire.

Albert Dupontel s’attaque à une satire politique avec un point de vue bien tranché. Il dresse l’envers du décor d’une élection présidentielle où l’intrigue est extrêmement bien ficelée et où l’intensité réside sur toutes les thématiques en toile de fond – l’écologie, le mépris de classe, la différence, l’identité.

Palais des congrès et des festivals de Varna (salle 1), 18.11, 17:00

Vlaykova, 19.11, 15:30

Institut français, 21.11, 19:00

Euro cinéma, 23.11, 19:45

Cinéma Lucky Plovdiv, 23.11, 20:30

Institut français, 24.11, 19:00

G8, 25.11, 16:00

Lumière, 27.11, 20:15

Cinéma Odéon, 29.11, 20:15

Les trois mousquetaires: D’Artagnan

2023, Aventure, Adaptation littéraire, 121’

Réalisateur : Martin Bourboulon

Avec : François Civil, Vincent Cassel, Romain Duris, Pio Marmaï, Eva Green, Louis Garrel, Vicky Krieps, Lyna Khoudri, Jacob Fortune-Lloyd, Eric Ruf

Du Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle…

Dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France.

Malgré leurs personnalités fort différentes, les trois mousquetaires sont joués avec nuance par des acteurs de grand talent. Ils demeurent le doyen solitaire, le bon vivant colérique et le charmeur aux nombreuses contradictions.

Longtemps considéré comme le plus visuel de tous les romans français, Les Trois Mousquetaires, publié en feuilleton dans le journal Le Siècle, en 1844, fut l’objet d’une cinquantaine de films, en France comme à Hollywood.

Le réalisateur Martin Bourboulon s’attaque au mythe, après le réussi Eiffel. Une nouvelle production à gros budget, en deux « chapitres » : Les Trois Mousquetaires: d’Artagnan et Les trois mousquetaires: Milady.

Palais des congrès et des festivals de Varna (salle 1), 17.11, 19:00

Cinéma Lucky Plovdiv, 18.11, 18:30

Vlaykova, 19.11, 19:30

Institut français, 22.11, 19:00

Cinéma Odéon, 25.11, 17:30

Dom na kinoto, 30.11, 19:00

Lumière, 3.12, 19:30

Une affaire d’honneur

2023, Drame, Historique, 100’

Réalisateur : Vincent Perez

Avec : Roschdy Zem, Doria Tillier, Guillaume Gallienne, Damien Bonnard, Vincent Perez

Paris 1887. À cette époque, seul le duel fait foi pour défendre son honneur.

Clément Lacaze, charismatique maître d’armes se retrouve happé dans une spirale de violence destructrice. Il rencontre Marie-Rose Astié, féministe en avance sur son époque, et décide de lui enseigner l’art complexe du duel. Ils vont faire face aux provocations et s’allier pour défendre leur honneur respectif.

Un long-métrage captivant, qui donne à découvrir un monde dans lequel l’honneur était tout. Tout, au point d’être prêt à mourir pour le défendre.

Marie-Rose Astié Valsayre a vraiment existé et a été l’une des premières figures du féminisme en France au XIXe siècle, luttant notamment pour l’abrogation de la loi interdisant aux femmes de porter un pantalon. Un rôle sur-mesure pour Doria Tillier.

Cinéma G8, 21.11, 18:45

Palais des congrès et des festivals de Varna (salle Europe), 22.11, 20:00

Institut français, 23.11, 19:00

Cinéma Lucky Plovdiv, 24.11, 18:30

Dom na kinoto, 24.11, 19:00

Vlaykova, 25.11, 17:30

Cinéma Odéon, 27.11, 18:00

Lumière, 1.12, 20:00

Les gardiennes de la planète

2023, Documentaire, Famille, 82’ 

Réalisateur: Jean-Albert Lièvre

Avec: Jean Dujardin

Une baleine à bosse s’est échouée sur un rivage isolé. Alors qu’un groupe d’hommes et de femmes organise son sauvetage, nous découvrons l’histoire extraordinaire des cétacés, citoyens des océans du monde, essentiels à l’écosystème de notre planète depuis plus de 50 millions d’années.

Quelle poésie… Le film documentaire avec Jean Dujardin qui prête sa voix, est une douce odyssée qui lève le voile sur ces créatures marines mystérieuses et envoûtantes, tout en nous sensibilisant subtilement à la protection de notre écosystème.

Magnifique expérience à vivre au cinéma et en famille.

Cinéma Odéon, 19.11, 15:00

Palais des congrès et des festivals de Varna (salle 1), 19.11, 16:00

Cinéma Lucky Plovdiv, 19.11, 16:15

Euro cinéma, 22.11, 19:45

Institut français, 25.11, 17:00

Vlaykova, 26.11, 15:30

Cinéma G8, 28.11, 19:00

Lumière, 3.12, 15:15

Bernadette

2023, Biopic, Comédie dramatique, 92’

Réalisateur : Lea Domenach

Avec : Catherine Deneuve, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz

Quand elle arrive à l’Elysée, Bernadette Chirac s’attend à obtenir enfin la place qu’elle mérite, elle qui a toujours œuvré dans l’ombre de son mari pour qu’il devienne président. Mise de côté car jugée trop ringarde, Bernadette décide alors de prendre sa revanche en devenant une figure médiatique incontournable.

Une comédie savoureuse, premier long-métrage de Léa Domenach, qui vous fera vivre un moment très agréable en mêlant fiction avec images d’archives. Catherine Deneuve incarne Bernadette ou La Tortue (comme son mari la surnommait) avec finesse, humour et sensibilité.

Lumière, 21.11, 20:15

Institut français, 26.11, 17:00tous les billets sont vendus

Cinéma Lucky Plovdiv, 27.11, 20:30

Bonnard, Pierre et Marthe

2023, Biopic, Romance, 123’

Réalisateur : Martin Provost

Avec : Cécile de France, Vincent Macaigne, Stacy Martin, Anouk Grinberg, André Marcon

Pierre Bonnard ne serait pas le peintre que tout le monde connaît sans l’énigmatique Marthe qui occupe à elle seule presque un tiers de son œuvre…

Un biopic habité, où l’histoire du célèbre peintre français et de sa compagne raconte à la fois la comédie de l’amour et de l’infidélité, la vie d’artiste et l’idéal qui peut en naître, un rapport au monde, à la beauté et à la vie.

Ils sont indissociables, se nourrissent l’un, l’autre. Pierre s’inspire de son corps en mouvement, de sa vitalité, de son mystère, de sa bizarrerie aussi pour nourrir son œuvre. Marthe a besoin de son regard amoureux pour juste rester vivante, relève Cécile de France.

Dom na kinoto, 19.11, 16:00

Cinéma Lucky Plovdiv, 19.11, 18:30

Cinéma G8, 20.11, 18:45

Vlaykova, 24.11, 19:30

Cinéma Odéon, 25.11, 20:00

Lumière, 26.11, 19:30

Institut français, 28.11, 19:00

Le dernier métro

1980, Drame, 128’

Réalisateur :  François Truffaut

Avec : Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean Poiret 

Paris, septembre 1942. Lucas Steiner, le directeur du théâtre Montmartre a dû fuir parce qu’il est juif. Sa femme Marion Steiner dirige le théâtre et engage Bernard Granger, transfuge du Grand Guignol, pour jouer à ses côtés dans « la Disparue », que met en scène Jean-Louis Cottins. Jusqu’au soir de la générale, la troupe subit les menaces du virulent critique de « Je suis partout », Daxiat, dont l’ambition est de diriger la Comédie- Française. Et si, par amour pour sa femme, Lucas Steiner avait fait semblant de fuir la France et était resté caché dans la cave de son théâtre pendant toute la guerre…

Le Dernier métro est l’occasion pour Truffaut de rendre hommage aux troupes théâtrales qui continuèrent à jouer malgré les pénuries et la censure allemande. Les comédiens survécurent à cette époque d’intolérance et apportèrent au public une forme de rêve, d’évasion et même d’amour.

Nous retrouvons dans Le Dernier métro toutes les qualités qui caractérisent le cinéma de François Truffaut. Rigueur de la mise en scène, perfection tant du découpage que du montage et dialogues dont chaque mot est essentiel.

Lumière, 19.11, 15:00

Institut français, 20.11, 19:00

Cinéma Odéon, 26.11, 18:15

Institut français, 29.11, 19:00

Dom na kinoto, 3.12, 16:30

Cyrano de Bergerac

1990, Comédie dramatique, Historique, Romance, 139’

Réalisateur : Jean-Paul Rappeneau

Avec : Gérard Depardieu, Jacques Weber, Anne Brochet, Vincent Perez

Cyrano aime depuis l’enfance sa cousine Roxane mais n’a jamais osé le lui dire. Il se croit défiguré par un nez trop long et pense que sa laideur l’empêche à tout jamais d’être aimé par une femme. Il est vrai que Roxane, de son côté, rêve d’aimer un homme qui allierait l’esprit et la beauté. Elle croit l’avoir trouvé le jour où elle rencontre Christian. Mais Christian, hélas, se croit sot : il est incapable de parler aux femmes. Cyrano viendra à son secours. Il lui soufflera ses mots, il lui dictera ses lettres, et les deux hommes feront ainsi – l’un dans l’ombre de l’autre – la conquête de Roxane. Christian ne supportera pas longtemps cette situation…

Illustration somptueuse de la pièce d’E. Rostand qui remporte 10 Césars en 1991, le Prix d’Interprétation Masculine (Gérard Depardieu) au Festival de Cannes en 1990, le Golden Globes du Meilleur Film en Langue Etrangère en 1991 et l’Oscar des Meilleurs costumes (Franca Squarciapino) en 1991.

Une seule projection de copie 35 mm dans le cadre du Festival au cinéma de la cinémathèque bulgare « Odéon ».

Cinéma Odéon, 23.11, 19:30

Phryge olympique et Phryge paralympique représentent des bonnets phrygiens, un type de bonnet devenu un grand symbole de liberté dans l’histoire française. Ils représentent une référence commune pour les Français : dans l’art (en tant qu’allégorie de la liberté) et dans les institutions françaises (en tant que symbole de la République, il coiffe Marianne dans les mairies). Il se décline même dans les objets du quotidien, comme les timbres et les pièces de monnaie.

C’est également un symbole de liberté, coiffant les esclaves affranchis en Rome antique et apparaissant sur de nombreux emblèmes dans les pays d’Amérique du Nord et du Sud.

Également appelé bonnet de la liberté, le bonnet phrygien est devenu au cours de l’histoire l’un des symboles de la République fraçaise.

#Paris2024

Retour en images du séjour de Stela, du lycée 133 Pouchkine de Sofia, sélectionnée pour représenter la Bulgarie dans le cadre du programme « Génération LabelFrancEducation » qui s’est tenu du 15 au 30 juillet 2023, à Vichy, avec le soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et de l’Institut français de Bulgarie.

Stela a rejoint 37 jeunes du monde entier, issus d’écoles bilingues LabelFrancEducation au CAVILAM – Alliance française de Vichy pour prendre part à un programme linguistique et culturel très riche. Ils ont participé à de nombreuses activités dont la visite de Paris, Lyon, Clermont-Ferrand et Vichy.

10 millions de billets, 10 500 athlètes, 32 sports olympiques et 22 sports paralympiques, 20 024 participants au Marathon Pour Tous, 39 sites. En 2024 pour la troisième fois de son histoire, Paris accueillera les Jeux Olympiques.

Dans un an, Paris sera la capitale mondiale du sport, accueillant les Jeux olympiques du 26 juillet 11 août et les Jeux paralympiques du 28 août au 8 septembre 2024. Cet événement, le plus grand jamais organisé en France, placera la cérémonie et les épreuves au cœur de la ville afin d’ouvrir grand les portes des Jeux et offrir aux spectateurs et aux athlètes une expérience unique.

Paris 2024 a souhaité marquer son engagement à travers de nombreuses innovations en matière d’égalité femmes-hommes, d’écologie et d’accessibilité. Aussi, l’Institut français de Bulgarie convie-t-il les Bulgares à venir célébrer le sport à Paris et sur les sites olympiques partout en France, dès le 26 juillet 2024.

Attachés à encourager la pratique du sport, à mieux mettre en lumière le handisport et à promouvoir les valeurs d’altérité et d’inclusion de l’Olympisme, l’Institut français de Bulgarie et l’Académie nationale des sports « Vassil Levski » (NSA) ont souhaité marquer cette date symbolique par la signature d’un accord un accord de coopération et de partenariat. Signé par le Conseiller de coopération et d’action culturelle et Directeur de l’Institut français de Bulgarie M. Pierre Colliot, et le Recteur de l’Académie des sports, Prof. Nikolay Izov, cet accord a pour objectifs un partage d’informations ainsi que l’organisation d’évènements conjoints entre les deux institutions :

« Cette signature témoigne de l’importance que de l’Ambassade de France en Bulgarie et de l’Institut français de Bulgarie accordent à l’activité sportive en tant que vecteur de dialogue et vecteur d’inclusion et d’égalité sociale » a déclaré Pierre Colliot, tandis que le recteur Nikolay Izov a réitéré « l’engagement de l’académie pour faire vivre cette convention et œuvrer au développement de la  coopération dans le domaine du sport entre la Bulgarie et la France».

Les festivités débuteront par une cérémonie d’ouverture au parcours long de six kilomètres, sur une Seine transformée en piste de défilé pour les athlètes, à laquelle pourront assister jusqu’à 600 000 spectateurs. Pensée par le metteur en scène français Thomas Jolly, cette cérémonie unique mêlera sports et arts, et mettra en valeur le patrimoine historique et architectural de la capitale. Le défilé se conclura à la nuit tombée par une grande cérémonie au pied de la tour Eiffel.

L’organisation d’épreuves au cœur de Paris (triathlon au Trocadéro, Beach-Volley sous la Tour Eiffel…) est une opportunité unique de mettre en valeur le patrimoine culturel de la capitale. Les Olympiades culturelles s’inscrivent dans cet esprit, comme rappelé par le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques Tony Estanguet :

« Il s’agit de célébrer le mariage entre le sport et culture à travers une Olympiade culturelle que l’on a souhaité très ambitieuse. Plus de 1600 projets ont déjà été labellisés, ce qui témoigne d’un engouement très fort à travers le pays ».

L’accessibilité des sites olympiques se trouve au cœur d’initiatives ambitieuses en matière d’inclusivité : 100% des sites de compétitions seront ainsi accessibles aux personnes en situation de handicap. Des innovations technologiques seront à l’honneur, avec la mise en service d’une flotte de véhicules électriques autonomes « UrbanLoop » permettant de relier des sites olympiques à l’ouest de Paris.

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont également l’occasion de réaffirmer l’importance d’un engagement commun pour davantage de sobriété dans le domaine du sport. Dans cet esprit, les Jeux seront organisés selon un modèle « compact » avec des épreuves concentrées autour du village olympique afin de minimiser les déplacements. Par ailleurs, les épreuves se tiendront dans des sites à 95% déjà construits ou temporaires. Le village des athlètes a été pensé comme un espace piéton et végétalisé, légué aux franciliens une fois les épreuves terminées afin de faire vivre l’héritage des jeux.

Comme rappelé par le logo officiel des JOP de Paris 2024, le comité d’organisation a fait de la promotion de l’égalité femmes-hommes dans le sport une priorité pour cette édition. Ces Jeux Olympiques seront ainsi les premier à bénéficier d’une parité en termes d’athlètes : 5250 femmes pour 5250 hommes.

La billetterie des Jeux a connu un succès remarquable, avec déjà 6.8 millions de places écoulées depuis son ouverture. La troisième phase de vente a débuté le 5 juillet dernier sur la plateforme officielle de billetterie de Paris 2024, qui restera désormais ouverte jusqu’au début des Jeux. Des places y seront régulièrement réapprovisionnées, et vendues directement sans tirage au sort préalable, restez vigilants !

Retrouvez toutes les actions et initiatives de l’Institut français de Bulgarie dans le cadre des Jeux de Paris 2024 en consultant notre site web : www.institutfrancais.bg

Photos : Académie nationale des sports / #Paris2024

Que lisez-vous pendant les vacances ? Envoyez-nous des photos de vos lectures jusqu’au 31 août inclus à l’adresse mediatheque@institutfrancais.bg et vous pouvez gagner un abonnement annuel pour notre médiathèque ou un livre français !

Vous pouvez aussi les publier dans notre groupe facebook :

https://www.facebook.com/groups/371165094081138

Si vous n’êtes pas encore membre, rejoignez-nous!

Les gagnants seront choisis par tirage au sort le 7 septembre.

Bonnes vacances et n’oubliez pas de mettre quelques livres dans vos valises !

À Athènes, en 1896, neuf sports sont au programme : l’athlétisme, le cyclisme, l’escrime, la gymnastique, l’haltérophilie, la lutte, la natation, le tennis et le tir. Depuis, le programme olympique a beaucoup évolué : certains sports ont disparu (ex. le polo, le baseball); d’autres ont été écartés, puis réintroduits (ex. le tir à l’arc, le tennis), tandis que de nouveaux sports ont fait leur apparition (ex. le triathlon, le taekwondo). Aux Jeux d’été, les athlètes pratiquent une grande variété de compétitions sur piste, sur route, sur gazon, dans l’eau, sur l’eau, à l’extérieur et dans les salles omnisports ; 28 sports au total.

#Paris2024

Débat « L’Europe et la guerre en Ukraine : soutien; neutralité, implication ? », le mardi 11 juillet 2023

l’Institut français de Bulgarie, en partenariat avec l’Université de Sofia Saint-Clément d’Ohrid, organise le débat « L’Europe et la guerre en Ukraine : soutien, neutralité, implication ? ».

Le Mardi, 11 juillet 2023, de 13h00 à 14h30, dans la salle Slaveykov de l’Institut français de Bulgarie.

Entrée libre. Une traduction simultanée français / bulgare sera assurée.

L’événement est organisé avec le soutien de l’Institut français à Paris.

Intervenants :

Jean-Denis Mouton

Le Professeur Jean-Denis Mouton est professeur émérite en droit public et ancien directeur du Centre européen universitaire de l’Université de Lorraine à Nancy. Il est l’un des spécialistes français de référence dans le domaine du droit de l’Union européenne. Il enseigne à l’Université de Lorraine, à l’Université de Luxembourg, à l’Institut européen d’administration publique de Maastricht, à Science po Paris et à l’Université de Belgrade. Il a été Directeur du Département des sciences juridiques et politiques du Centre universitaire de Nancy et de la Maison des pays de l’Europe Centrale et Orientale de l’Europe à Nancy.

Il est docteur honoris causa de l’Université de Sofia et Chevalier de l’Ordre de la Légion d’Honneur française. Il est l’auteur de nombre de publications dans le domaine du droit de l’EU et du droit international.

Le professeur Jean Denis Mouton a joué un rôle déterminant dans la création et le développement de la coopération franco-bulgare dans le domaine du Droit de l’UE.

Grâce à son implication au projet, en 2008 a été créé le premier master Droit de l’Union européenne à l’Université de Sofia, en partenariat avec les universités de Nancy et de Strasbourg.

Yanaki Stoïlov

Le professeur Yanaki Stoïlov, juriste et homme politique bulgare, est juge constitutionnel. Il a été responsable du département « Théorie et histoire de l’Etat et du droit » au sein de la Faculté de droit de l’Université de Sofia. Il est professeur honoris causa de l’Université de Shanghai. Yanaki Stoïlov est membre de la rédaction de la revue Monde juridique.  Au cours de sa carrière politique, il a été député à plusieurs reprises. Il a notamment participé à la 7ème Assemblée nationale constituante (1990-1991) au sein de laquelle il a été Secrétaire de la Commission d’élaboration du projet de nouvelle constitution. Il a occupé plusieurs postes et fonctions, tels Président de la commission des questions juridiques du Parlement, Président de la Commission de la politique des affaires étrangères (2014-2017), Vice-président de l’Assemblée nationale. Yanaki Stoïlov a été membre de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) (2009-2017).

Crédit : Iliyana Kirilova

Boyko Vasilev

Boyko Vasilev est un célèbre journaliste bulgare, présentateur et producteur de l’émission Panorama de la Télévision nationale bulgare BNT. Expert des Balkans, il relate pour la BNT les événements en Serbie, en Bosnie et Herzégovine, et en République de Macédoine, la guerre en Bosnie-Herzégovine en 1994-1995, le conflit du Kossovo (1998), les frappes aériennes de l’OTAN à Belgrade en 1999, les protestes contre Slobodan Milosevic (2000). Dans ses émissions, une rubrique d’analyse du journaliste présente son point de vue sur l’actualité et les grands enjeux internationaux. Parallèlement, il tourne des reportages et des documentaires ; de 2010 à 2016, il est le producteur de la série documentaire sur les questions internationales Le monde en direct. Il relate les guerres en Syrie (2012) et en Irak (2015). En juin 2001, il organise une émission exceptionnelle de Panorama depuis Skopje destinée au conflit en Macédoine.

Boyko Vassilev est vice-président de la Fondation Saints Cyrille et Méthode et membre du Conseil d’administration de l’Institut d’études régionales et internationales (IRIS).

Modératrice : Irina Nédéva, Présidente de l’Association des journalistes européens (AJE) – Bulgarie.

On vous invite à rejoindre le club de lecture de la médiathèque ! Une fois par mois on se rencontre pour échanger sur nos lectures et profiter des suggestions des autres participants. Les rencontres ont lieu en français et sont animées par Jérémie Buldo, enseignant au Lycée français « Victor Hugo ».

Prochain rendez-vous – le vendredi 30 juin à 18 heures

Entrée libre sur inscription

Pour vous inscrire : mediatheque@institutfrancais.bg

Tél. 02 937 79 35

Le programme d’échanges Ronsard est mis en place par l’académie de Nancy-Metzl’académie de Grenoble, la région académique Auvergne-Rhône-Alpes et l’Institut français de Bulgarie

Témoignage de Petya Docheva, élève en classe de 10ème au lycée de langues romanes Rakovski de Bourgas qui passe 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de l’académie de Nancy-Metz.

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard ?

Ma plus grande motivation pour participer au Programme Ronsard était d’améliorer mes connaissance en français et de découvrir la France, ses richesses et sa culture, mais aussi de fait connaissance avec des personnes de mon âge, d’échanger avec eux.

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e) surpris(e) ?

Ma famille correspondante française est très gentille, bienveillante et dynamique. Grâce à ce séjour en France, je deviens de plus en plus indépendante, je découvre la vie quotidienne des Français et leurs habitudes et traditions. J’ai été surprise de trouver beaucoup de points communs avec ma correspondante et ses proches.

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Le système scolaire français est très diffèrent du système bulgare. Les cours sont plus longs, mais les élèves ont la possibilité de déjeuner ensemble, ce qui leur permet de mieux se connaître. Les professeurs aident toujours les élèves, travaillent lentement et ils étaient sûrs que tout le monde comprend.

Le français, pour moi, c’est… une langue vivante que j’apprends avec plaisir.

La France, pour moi, c’est… un rêve que je suis déjà en train de réaliser.

La Bulgarie, pour moi c’est… mon pays d’origine que j’aimerai toujours.

Témoignage de Reneta Peeva, élève en classe de 10ème au lycée bilingue « Ivan Vazov » de Plovdiv qui passe 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de l’adcadémie de Grenoble

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard ?

Je suis très sociable et positive, j’aime rencontrer de nouvelles personnes et faire de nouvelles connaissances. De plus, grâce à ce projet, j’ai pu améliorer mes compétences en français et c’était très utile de le faire dans un environnement francophone. Je suis devenue plus responsable et indépendante, ce qui est important pour une jeune fille de 17 ans. C’est merveilleux d’avoir l’opportunité de participer à ce projet, que je trouve vraiment intéressant et passionnant. 

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e) surpris(e) ?

Ce 1 mois m’a appris beaucoup de choses. Je suis devenue une fille plus responsable et indépendante. Ici, j’avais une vie différente, un quotidien différent. C’est très intéressant de voir comment vivent les autres, de différentes parties du monde. J’ai été surprise par les gens ici. Tout le monde est si gentil et accueillant, toujours souriant. J’aime la façon dont ils se saluent toujours même s’ils ne se connaissent pas. Mais j’ai été très surprisе par le baiser de salutation. J’ai eu beaucoup de plaisir. La famille avec laquelle je vivais était plus que merveilleuse. Ils étaient très gentils et attentionnés. Nous sommes devenus très proches et resterons amis pour toujours.

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Le système éducatif français est très différent du système bulgare. Les journées sont très longues ici. Les cours commencent à 8 ou 9 heures du matin. Certains jours, les cours se terminent à 17h30 ou 18h00. Leurs heures sont plus longues – 55 minutes, parfois 1 heure et 30 minutes. Et parce qu’ils ont beaucoup de temps, les enseignants ne se précipitent pas sur la leçon. Ils travaillent plus lentement, ainsi les étudiants parviennent à mieux comprendre la matière. Ils font beaucoup plus d’exercice. En Bulgarie, les heures sont plus courtes et nous n’avons pas beaucoup de temps.

Le français, pour moi… c’est la langue la plus belle et la plus mélodieuse. J’ai choisi d’étudier le français parce que cette langue m’a attirée dès la première fois que je l’ai entendue. 

La France, pour moi…..c’est  un très beau pays, avec une belle nature, de nombreux sites touristiques, des gens intéressants et gentils. Je reviendrai certainement en France !

La Bulgarie restera toujours dans mon cœur. Je suis néе ici, j’ai grandi ici, mes personnes préférées sont ici. Où que je sois, la Bulgarie me manque toujours. J’aime nos traditions, notre cuisine, nos coutumes.

Témoignage de Gergana Prodanova, élève en classe de 10ème au lycée bilingue n°4 « Frédéric Joliot-Curie » de Varna qui passe 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de région académique Auvergne-Rhône-Alpes.

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard?

D’abord, ce programme d’échange est très utile pour des étudiants qui veulent apprendre davantage le français, sa culture et la façon d’enseigner en France. Et moi, j’aime beaucoup la culture française. Avec cet échange, j’ai appris plus sur la vie quotidienne d’un Français. D’autre part, en France, j’ai pratiqué le français toute la journée et j’ai parlé avec des Français pour améliorer mes connaissances linguistiques. J’ai toujours rêvé d’avoir un ami en France et de communiquer avec lui en français. Cette année j’ai eu de la chance de le faire. Je suis très contente d’avoir participé à cet échange parce que j’ai trouvé des amis pour toujours.

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e) surpris(e) ?

La famille française était très gentille avec moi. Ils ont fait mon séjour en France incroyable. On s’entendait bien et on restera amis pour toujours. Grâce à eux j’ai appris beaucoup de choses nouvelles et j’ai amélioré mes connaissances en français. 

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Le système scolaire français est très différent de notre système en Bulgarie. Les cours sont plus longs. En France, les étudiants ont assez de temps pour se reposer et manger à midi parce qu’ils ont une cantine. 

Le français, pour moi, c’est… ma langue préférée. Je l’aime beaucoup et avec plaisir je l’étudie. J’adore la façon dont les français parlent. La langue est importante pour moi parce que j’ai fait de nouveaux amis grâce à elle. 

La France, pour moi, c’est…un très beau pays. La culture est trop riche et j’étais heureuse de la découvrir pendant mon séjour en France. L’architecture que j’ai vu était très curieuse et les gens étaient très gentils. J’ai décidé d’y revenir un jour. 

La Bulgarie, pour moi, c’est…mon pays et je l’apprécie beaucoup. J’aime notre culture et nos traditions. Je suis contente d’avoir la possibilité de présenter la Bulgarie à ma correspondante.

Témoignage d’Anastasiya Treyman, élève en classe de 10ème au lycée français « Alphonse de Lamartine » de Sofia qui a passé 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de l’adcadémie de Grenoble

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard ?

Je voulais pratiquer mon francais et être plus confiante en moi même en le parlant. C’était la meilleure possibilité pour moi de vivre et d’apprendre en immersion dans un milieu absolument inconnu. J’étais sûre que la période d’un mois dans un pays étranger enrichirait non seulement mes connaissances linguistiques, mon expérience dans un monde totalement different du mien mais aussi ma propre vision du monde.

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e) surpris(e) ?

J’ai compris que les Français et leur mentalité ne différent pas beaucoup des Bulgares. La grande différence entre moi et la famille de ma correspondante était le mode de vie. J’ai découvert que leurs habitudes étaient beaucoup plus saines que les miennes. En France je dormais plus de 6 heures, je mangeais plus équilibré et je marchais tranquillement sans me dépêcher tout le temps. C’était très bon pour moi dans cette période et je voudrais avoir en Bulgarie un rythme de vie aussi tranquille qu’en France.

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Le système scolaire francais m’a paru plus léger que le nôtre. Les matières ne sont pas très difficiles, les leçons ne sont pas si longues et les professeurs ne sont pas trop exigeants. Je trouve qu’il y a des avantages dans ce système tout comme des défauts.

Le français, pour moi, c’est… La langue tellement difficile qu’il faut que tu l’étudies toute ta vie pour l’apprendre mais dont tu n’arrêtes pas de tomber amoureux/euse tous les jours.

La France, pour moi, c’est… Un pays plein de surprises

La Bulgarie, pour moi, c’est … .La maison paternelle qui malgré le chaos qui y reigne restera toujours tout près de mon coeur.

Témoignage de Inès Bozhilova, élève en classe de 10ème au lycée français « Alphonse de Lamartine » de Sofia qui a passé 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de l’adcadémie de Grenoble.

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard ?

Premièrement, j’ai voulu me lancer le défi de voir comment je me débrouillerais indépendamment dans un environnement qui m’est complètement étrange en guise de préparation potentielle pour la vie d’adulte.

Deuxièmement, à mes yeux c’était une chance exceptionnelle de voir un autre mode de vie différent du mien, un autre type de quotidien. J’étais curieuse de savoir si cela corresponderait à mes attentes idéalisées de la France qui était devenue une vraie aspiration pour moi.

Enfin, je voyais cet échange comme une opportunité de pratiquer mon français, de l’utiliser chaque jour et aussi de découvrir la culture au-delà des articles dans les manuels.

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e) surpris(e) ?

Ma famille d’accueil m’a montré la région, m’a présenté la cuisine traditionnelle mais aussi elle m’a appris une leçon d’humanité- d’être plus ouverte aux autres. J’ai vu ce que c’est l’entraide, j’ai senti l’esprit communautaire. Comme je vis dans la grande ville où les gens ont tendance à être distants et réservés, j’étais surprise de voir à quel point on pourrait être proches.

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Je suis mitigée par rapport au système scolaire en France. D’un côté, il n’y a pas cet aspect de stress et de rythme aussi intense qu’en Bulgarie. On dispose de toute la journée à l’école pour tout faire. La durée plus longue des cours laisse aussi plus de temps pour faire des exercices. D’un autre côté, le matériel que l’on enseigne est sous une forme très sèche et parfois inutilement compliqué. Les professeurs m’ont semblé réservés envers les élèves, ils venaient, enseignaient la leçon puis sortaient sans une implication un peu plus profonde.

Le français, pour moi, c’est… l’art de l’expression, c’est la richesse parce qu’il y a tellement de synonymes, d’expressions, de façons variées de dire la même chose. Avec toutes les subtilités, toutes les nuances qu’il y a c’est un vrai savoir-vivre. En fonction des interlocuteurs, de la situation, de son ressenti personnel, on peut être vif, fervent ou bien calme et réticent. Je trouve une beauté infinie dans cette palette de divers moyens d’expression.

La France, pour moi, c’est… un beau souvenir. Je suis infiniment reconnaissante pour tous les gens que j’ai rencontrés, tout ce que j’ai vécu, les nouvelles choses que j’ai apprises. Toutefois, ma perception idéalisée a porté des coups, j’ai vu que tout n’était pas rose car dans certains domaines comme la politique, l’économie, la vie sociale, il y a de la place pour introduire des changements.

La Bulgarie, pour moi, c’est… encore plus proche de mon cœur. Après mon retour j’ai pu apprécier davantage les atouts que notre pays possède, tout comme prendre de recul et voir ce qui pourrait être amélioré en adoptant certains pratiques positives de la France.

Témoignage de Yoana Krastanova, élève en classe de 10ème au lycée 133 Pouchkine de Sofia qui passe 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de région académique de Grenoble.

« A travers l’échange, le programme de partenariat programme de mobilité Ronsard / France-Bulgarie, nous avons construit un pont durable entre les deux familles. L’ enseignement, les voyages et la garde mutuelle des enfants ont été des expériences passionnantes pour tous. Je joins quelques photos. Merci de nous avoir donné l’opportunité de rejoindre le programme. Yoana »

Témoignage de Victoria Popova, élève en classe de 10ème au lycée français « Alphonse de Lamartine » de Sofia qui a passé 4 semaines dans une famille d’accueil en France et dans un lycée de l’adcadémie de Grenoble.

Quelles ont été vos motivations pour participer au programme Ronsard ?

Mes motivations étaient de découvrir une autre culture, améliorer mon français et me faire beaucoup d’amis.

En quoi ce séjour en France dans une famille française vous a enrichi(e), surpris(e) ?

Ce séjour en France m’a surpris avec la nourriture. J’ai mangé des plats typiques de la région de mon correspondant. Tout le monde était très accueillant et gentil et j’en suis reconnaissante car c’était difficile pour moi au début.

Quelles impressions avez-vous du système scolaire français ?

Les cours sont plus courts et ils n’ont pas de pauses après chaque cours. Mais la plupart d’eux connaissent peu les pays d’Europe de l’Est. Enfin je peux dire que je préfère le système scolaire en Bulgarie.

Le français pour moi c’est…… une langue très belle, avec beaucoup d’exceptions qui est très difficile.

La France pour moi c’est…… un pays magnifique qui offre des aventures et des expériences inoubliables.

Inscrivez-vous pour participer à l’atelier en ligne : « Préparez votre séjour d’études en France »

le 30 juin 2023 de 12h00 à 14h00

Cet ateliervous donnera toutes les informations utiles pour bien préparer en avance votre séjour d’études en France.

Parallèlement à l’excellence de son enseignement supérieur, la France offre également une haute qualité de vie. Le Label « Bienvenue en France » distingue les établissements qui développent des services spécifiques d’accueil pour les étudiants internationaux portant sur la qualité : de l’accessibilité de l’information, des dispositifs, de l’accompagnement des enseignements, de la vie du campus, ainsi que du suivi post-diplômant.

Avant l’atelier :

Programme :

12h00 – 13h00    Présentation

13h00 – 14h00    Questions/Réponses  

Intervenante :

Bissera KOLAROVA, responsable Espace Campus France Bulgarie, Institut français de Bulgarie.

Nous vous attendons nombreux !

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