x

En raison de circonstances imprévues, liées à des changements de vols des participants, l’événement est reporté à une nouvelle date en mai, que nous vous communiquerons prochainement. Nous vous remercions de votre compréhension.

Cette conférence-débat abordera ce que l’on désigne parfois par une « crise de confiance » ou une « crise de la démocratie » des démocraties représentatives.

Elle est organisée par l’Institut français de Bulgarie et l’Université de Sofia Saint Clément d’Ohrid et se tiendra à l’Institut français de Bulgarie, salle Slaveykov, le mardi 16 avril 2024 de 12h00 à 13h30.

Conditions : Evènement ouvert à tous, sans inscription préalable, entrée libre.

Langues : français et bulgare (traduction simultanée).

Alors que la participation électorale diminue progressivement et continuellement dans la plupart des pays européens et occidentaux, de nombreuses réflexions émergent quant à la pertinence de nouvelles formes de participation citoyenne : débats directs entre élus et citoyens, budgets participatifs dans les mairies, assemblées tirées au sort, référendum d’initiative citoyenne, référendums permettant révoquer des élus, etc.

Si de nombreuses initiatives consistent à consulter davantage les citoyens sans leur déléguer de pouvoir de décision (sondage, référendum consultatif, assemblée consultative, débat citoyen suivi de recommandations…), les approches les plus radicales visent à donner aux citoyens le pouvoir de proposer et de décider de lois et de modifications de la constitution sans passer par des élus ou des partis politiques. Cette approche est expérimentée depuis de nombreuses années en Suisse, aux Etats-Unis (dans une vingtaine d’Etats) et façonne les processus de décision d’un nombre croissant d’organisations de la société civile.

Pour autant, les critiques de la démocratie directe alertent sur les risques, pointent des expériences qu’ils jugent décevantes telles que le Brexit et rappellent que les référendums ont souvent été utilisés par des régimes autoritaires pour maintenir leur légitimité. Ils proposent d’agir préalablement sur d’autres leviers qu’ils jugent indispensables, tels que le renforcement de la transparence et de la redevabilité, la prévention des conflits d’intérêts, les mécanismes de lutte contre la corruption et les garanties à apporter à la liberté des médias et à l’indépendance de la justice.

Ce débat traitera de la diversité des modes de démocratie directe. Les intervenants tireront les conclusions des travaux de recherche sur ce sujet et s’interrogeront sur ses bénéfices et sur les risques qu’elle soulève.

*

Situation en France

L’idée de référendum d’initiative citoyenne était au cœur des revendications du mouvement des gilets jaunes de 2018-2019, mouvement auquel le pouvoir exécutif a répondu en créant un Grand débat national (procédure participative et consultative) et une Convention des citoyens sur le climat, en invitant 150 citoyens tirés au sort à proposer des solutions pour « réduire les émissions de gaz à effet de serre », « dans un esprit de justice sociale ». La Convention citoyenne a proposé 149 mesures. Le Président de la République en a retenu 146, qui ont été transmises au Parlement et au Gouvernement et ont été partiellement mises en œuvre sous forme de loi et de décrets.

Depuis les années 1990, la France a recouru plusieurs fois au référendum :

En 1992, les citoyens ont approuvé le traité de Maastricht instituant l’Union européenne à la place des Communautés européennes, à 51 % des suffrages (taux d’abstention de 30 %, pas de seuil minimal de participation – les pourcentages indiqués ici sont arrondis à l’unité).

En 2000, le mandat du président de la République a été réduit de 7 à 5 ans par un vote favorable à 73 % (70 % d’abstention).

En 2005, le traité établissant une Constitution pour l’Europe une constitution pour l’Europe a été rejeté à 55 % (taux de participation de 69 %). La même année, les Pays-Bas ont également rejeté ce traité par référendum, ce qui a conduit à l’abandon de sa ratification pour l’ensemble des Etats membres. L’essentiel des dispositions contenues dans ce projet de traité a été repris dans le traité de Lisbonne, signé en 2007 et entré en vigueur en 2009. Cette fois-ci, les citoyens français et néerlandais n’ont pas été invités à se prononcer par un vote. Seule l’Irlande l’a fait. Les Irlandais ont d’abord rejeté le traité de Lisbonne par référendum en 2008 à 53 % des voix (47 % d’abstention) puis l’ont approuvé en 2009 à 58 % des voix (42 % d’abstention).

Situation en Bulgarie

Plusieurs référendums se sont tenus depuis la fin du communisme :

Le référendum de 2013 interrogeant les citoyens sur la construction d’une nouvelle centrale nucléaire (oui à 62 % des votants, le référendum étant juridiquement non contraignant en raison du nombre de votants inférieur à 60 %). Le projet de construction d’une centrale sur le site de Belene n’a pas été poursuivie dans l’immédiat, puis a été relancé par décision du Parlement en 2019.

Le référendum de 2015 sur l’introduction du vote électronique (oui à 73%, référendum non contraignant en raison du nombre insuffisant de votants). Ce mode de vote a ensuite été introduit sur décision du Parlement.

Le référendum de 2016 sur la modification du code électoral, proposant d’élire les députés au scrutin majoritaire à deux tours (oui à 74 %) : il n’a pas été mis en œuvre en raison du nombre insuffisant de votants.

Dans l’Union européenne

Dans l’Union européenne ne prévoit pas d’instruments de démocratie directe mais autorise les citoyens européens à accéder aux documents internes de l’Union et à présenter des pétitions au Parlement européen.

*

Intervenants:

Marthe Fatin-Rouge Stefanini, directrice de recherche en droit public à l’Université d’Aix-Marseille, spécialisée en démocratie directe et participative.

Natasa Danelciuc-Colodrovschi, maître de conférences associée en droit à l’Université d’Aix-Marseille.

Martin Belov, vice-doyen de l’Université de Sofia en charge des relations internationales, de la numérisation et de l’environnement virtuel

Hristo Hristev, juriste, avocat, professeur de droit européen à l’Université de Sofia Saint-Clément d’Ohrid

A l’occasion de la Journée internationale des femmes le 8 mars, l’Ambassade de France en Bulgarie, l’Institut français de Bulgarie et l’association « Médecins du monde – Bulgarie » ont le plaisir de vous inviter à la projection du film « Annie Colère ». La séance aura lieu le 7 mars à 18h30, à l’Institut français de Bulgarie, salle Slaveykov,

Durée 119 min., sous-titré en bulgare, entrée libre

L’action se déroule en février 1974. Parce qu’elle se retrouve enceinte accidentellement, Annie, ouvrière et mère de deux enfants, rencontre le Mouvement pour la Liberté de l’Avortement et de la Contraception qui pratique les avortements illégaux aux yeux de tous. Accueillie par ce mouvement unique, fondé sur l’aide concrète aux femmes et le partage des savoirs, elle va trouver dans la bataille pour l’adoption de la loi sur l’avortement un nouveau sens à sa vie.

Le 6 décembre, de 12h00 à 13h30, dans la salle Slaveykov de l’Institut français de Bulgarie

Cette discussion ouverte à tous présentera les dernières évolutions des analyses sur les montagnes en croisant le regard des scientifiques et des alpinistes.

Les montagnes nous font rêver et nous inspirent. Elles nous appellent à l’aventure et aux grands espaces. Pourtant, c’est dans les sommets enneigés que certains effets de l’activité humaine se font le plus ressentir : le changement climatique affecte tout particulièrement les glaciers et bouleverse les écosystèmes de montagne.

La France bénéficie d’un patrimoine naturel de montagne à la fois exceptionnel et fragile, avec de nombreux glaciers. Quant à la Bulgarie, l’équilibre climatique des deux plus hauts micro-glaciers situés dans les Monts Pirin est menacé d’ici 2045.

Quels sont les effets du réchauffement global sur les montagnes ? Quels sont les liens avec l’activité humaine ? Comment les mesurer ? Tel sera le sujet des interventions.

Participants :

David Chambre est un grimpeur passionné depuis toujours. Après la découverte de l’escalade sur les rochers de Fontainebleau, il se lance dans les grands itinéraires alpins du Mont-Blanc tout en poursuivant des études de géographie-climatologie à l’université Paris-Sorbonne. Il fait ensuite partie des premiers grimpeurs professionnels durant les années 80 et se spécialise dans l’escalade libre (nombreux solos, ouvertures de voies de huitième degré) tout en parcourant le monde. Depuis, établi en Provence pour se rapprocher des falaises, il est notamment l’auteur de « Le 9e degré – 150 ans d’escalade libre », « Haute montagne. Les plus grands noms de l’alpinisme », Piolets d’or – les plus beaux exploits de l’alpinisme moderne » aux Éditions du Mont-Blanc et en 2023 de la BD « Il était une fois l’escalade » aux Arènes BD.

Emil Gachev est maître de conférence au département de géographie, d’écologie et de protection de l’environnement de l’Université du sud-ouest « Neofit Rilski », à Blagoevgrad. Il travaille également à l’Institut national de géophysique, de géodésie et de géographie de l’Académie bulgare des sciences. Il a obtenu un doctorat en géographie physique (écologie du paysage) à l’Université de Sofia. Depuis lors, il mène des recherches actives dans les domaines de la géomorphologie périglaciaire et glaciaire, et s’est ensuite consacré à l’étude des lacs et des petits glaciers. Depuis 2008, M. Gachev étudie activement les petits glaciers et les champs de neige permanents dans les montagnes de la péninsule balkanique (en Bulgarie, au Monténégro et en Albanie). Ses recherches portent principalement sur la géomorphologie, la glaciologie, l’étude des montagnes et le changement climatique. Depuis 2008, M. Gachev enseigne des cours tels que l’hydrologie, la géologie, la glaciologie et l’océanologie aux étudiants en géographie et en écologie. Il est marié et père de trois enfants.

Gergana Georgieva est maître-assistante au département de météorologie et de géophysique de la faculté de physique de l’université de Sofia. En 2014, elle a obtenu son doctorat en sismologie et structure interne de la Terre, étudiant la structure de la croûte terrestre et du manteau supérieur sous la Bulgarie. Ses recherches portent sur l’étude de la structure de la Terre, la sismicité induite et la sismicité dans les glaciers (cryosismologie, depuis 2015), et le mouvement des glaciers. En 2015, en tant que membre de la 24e expédition antarctique nationale, elle a installé avec succès la première station sismique antarctique bulgare. Elle a participé à cinq expéditions antarctiques bulgares (24e, 26e, 28e, 30e et 31e), avec des projets scientifiques sur l’étude de la sismicité dans la région, la sismicité des glaciers et le mouvement et l’activité des glaciers dans la zone de la base antarctique bulgare. Depuis 2018, elle dirige un projet sur les mesures géophysiques dans les hautes montagnes de Bulgarie. Gergana Georgieva a également commencé sa carrière en tant que promoteur des sciences après la 24e expédition antarctique avec de courtes démonstrations sur le mouvement des glaciers lors du Festival de science de Sofia en 2016. Elle est guide de montagne certifiée depuis 2004. Elle a deux enfants.

Modérateur : Balin Balinov

Balin Balinov est philologue de formation. Avant de rejoindre Greenpeace – Bulgarie, Balin a travaillé 13 ans pour différentes stations de radio. Il a animé une rencontre radio quotidienne et interviewé des centaines de personnes connues et moins connues aussi bien en Bulgarie qu’à l’étranger. Au sein de l’équipe de Greenpeace Balin est coordinateur du programme des alternatives énergétiques en étroite relation avec les énergies renouvelables. L’un des objectifs du programme est de transformer le système énergétique de manière que plus de gens deviennent des participants actifs au système et de produire de l’énergie pour leurs propres besoins.

Entrée libre, français et bulgare, avec traduction.

Le 23 novembre de 9h00 à 16h30 dans la salle Salveykov de l’Institut français de Bulgarie

La lutte contre la corruption représente un défi sans cesse renouvelé. Ce colloque est organisé à l’initiative de la Conférence internationale des Barreaux de tradition juridique commune (CIB), en partenariat avec l’Ambassade de France et l’Institut français de Bulgarie, et la participation d’avocats et de magistrats. Seront présentés les retours d’expériences et les réformes en cours en France et en Bulgarie. Interviendront notamment des représentants de l’Organisation internationale de la Francophonie, du Parquet national financier, de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique (HATVP), de l’Agence française anticorruption (AFA), et du Fonds bulgare anticorruption.

Ce colloque célèbre les dix ans du Club des avocats francophones de Sofia et s’inscrit dans dans le cadre du 30e anniversaire de l’adhésion de la Bulgarie à l’Organisation internationale de la Francophonie.

Programme

Entrée libre. Interprétariat français / bulgare

Inscriptions : contact@cib-avocats.org

Мoderniser l’Etat, moderniser la vie économique : contribuer à une image positive de la Bulgarie à l’international à travers une législation portée aux meilleures normes européennes 

10 novembre à 9h30 à l’Institut français de Bulgarie, salle Slaveykov

L’évènement est organisé par la Chambre de commerce et d’industrie France Bulgarie, en partenariat avec l’Ambassade de France, et l’institut Français de Bulgarie.

Programme de la conférence:

9h30    Café d’accueil 

10h00 Ouverture de la conférence par :

M. Stéphane Delahaye, Président de la CCI France Bulgarie

S.E.M. Joël Meyer, Ambassadeur de France en Bulgarie

10h15  Intervention de M. Michel Sapin

10h25  Intervention du Ministre des Finances, M. Assen Vassilev (à confirmer)

10h35  Débat d’idées :

– Modérateurs :

– Intervenants :

12h00  Déjeuner buffet

Langues : français et bulgare, traduction simultanée

Pour participer à la conférence merci de vous enregistrer sur le lien suivant : ENREGISTREMENT

Le mardi 17 octobre de 14h à 15h s’est tenue à l’Institut français de Bulgarie la Cérémonie de remise des prix du projet « Replication Challenge : Training for Changemakers ». C’était la première édition en Bulgarie.

La cérémonie a été ouverte par l’Ambassadeur de France Joël Meyer et Madame Mariya Gabriel, Vice-Première ministre et Ministre des Affaires étrangères de Bulgarie, qui ont remis les prix aux lauréats en présence des membres du jury, de la presse et des partenaires privés.

Cette année a compté 18 participants répartis en 5 équipes. Les membres du jury ont souligné la qualité générale des projets de l’ensemble des candidats. Les 1er, 2e et 3e prix ont été remis aux projets évalués sur les quatre critères suivants : impact social et environnemental, désirabilité du projet pour les consommateurs ou les bénéficiaires, faisabilité en pratique et viabilité financière.

Voici les résultats des délibérations du jury.

Equipes lauréates

1er prix : Projet « RENT CYCLE »

Projet visant à promouvoir l’économie circulaire par la réutilisation et la réparation d’outils. Réplication du projet original « La Manivelle », une bibliothèque coopérative d’objets en Suisse.

Le mentorat et le soutien sera assuré par:

Un entretien de mentorat et de suivi est prévu avec l’un des trois membres du jury: Mme Simona Stiliyanova (Osnova, Zero Waste Sofia, BlackPeak Capital, ambassadrice climat de l’Union européenne).

2e prix : Projet « SO CAFÉ »

Projet visant à créer un café pour développer la solidarité intergénérationnelle entre jeunes et personnes âgées. Réplication du projet original « Vollpension », café intergénérationnel en Autriche.

Le mentorat et le soutien sera assuré par:

Un entretien de mentorat et de suivi est prévu avec l’un des trois membres du jury: Mme Sasha Bezouhanova (investisseuse, fondatrice de MOVE.BG et du BCWT).

3e prix : Projet « BEAN TO GREAN »

Projet visant à développer le recyclage de déchets et les réutiliser pour de l’agriculture écologique, tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre. Le marc de café des machines à café (émetteur de CO2 et de méthane) est récupéré et utilisé pour cultiver des champignons ou d’autres produits qui sont ensuite revendus. Réplication du projet original « Cup » en Egypte.

Le mentorat et le soutien sera assuré par:

Le REPLICATION CHALLENGE est une formation intensive de trois jours à l’entreprenariat social. Ouverte à tous sans condition d’expérience, elle s’adresse tout particulièrement aux jeunes et a été menée pour la première fois en Bulgarie les 6, 7 et 8 octobre 2023. Cette formation permet de découvrir plus de 40 activités d’entreprenariat social mises en œuvre dans d’autres pays pour résoudre des problèmes sociaux, éducatifs ou environnementaux qui peuvent être rapidement recrées et répliquées localement.

Cette formation a été créée par l’association française Snowball Effect. L’édition bulgare 2023 a été financée par le Ministère français de l’Europe et des affaires étrangères et organisée par l’ambassade de France, l’Institut français de Bulgarie, Snowball Effect et l’association bulgare Startup Factory.

Les entreprises et organisations partenaires des prix sont : la Chambre de commerce et d’industrie France Bulgarie, la French Tech Sofia, la fondation America for Bulgaria, la société Ingotify, la société Pluxee Bulgarie (anciennement Sodexo Bulgarie), la société Open Coworking Spaces Sofia, le WWF Bulgarie, les magasins Zoya et l’école de management francophone ESFAM. La cérémonie s’est tenue sous le haut patronage du Ministère bulgare des Affaires étrangères.

Vous avez entre 18 et 35 ans ?

Vous voulez changer le monde ?

Inscrivez-vous dès maintenant !

En 2023, le « Replication Challenge : Training for Changemakers » lance sa première édition en Bulgarie !

A qui s’adresse ce programme ?

Si vous n’avez pas ou peu d’expérience mais que vous voulez vous lancer dans une activité locale qui a un fort impact social ou environnemental, le Replication Challenge est fait pour vous. Vous bénéficierez d’un programme complet de découverte et de formation de 3 jours sur le weekend (de vendredi 14h à dimanche 15h30), tout compris (logement, nourriture, etc.), dans un cadre exceptionnel (Villa Yustina à Ustina, dans la région de Plovdiv). Les ateliers de travail seront à taille humaine, en petit groupe, avec une formation sur-mesure (30 participants au maximum). Nos mentors français et bulgares expérimentés dans les domaines social, santé, éducation, inclusion, tech, environnement et écologie vous donnerons les clés qui vous permettrons de lancer une activité en répliquant des solutions qui existent déjà ailleurs !

Vous découvrirez de nombreuses solutions concrètes qui existent déjà dans d’autres pays et qui peuvent être lancées en Bulgarie dès maintenant. Le programme d’activités s’annonce intense et passionnant : gestion de projet, étude de marché, prise de parole (pitch), découvertes de nouveaux projets et de nouveaux horizons !

Notre jury prestigieux identifiera les meilleurs candidats et partagera avec vous sa riche expérience de plusieurs dizaines d’années d’engagement pour changer la société.

Ensuite, ceux d’entre vous qui souhaiterons mettre en œuvre les projets et lancer une activité bénéficierons pendant 3 à 6 mois d’un accompagnement personnalisé offert par nos entreprises partenaires (mentorat, accompagnement et accès à des espaces de coworking : consulter le lien ci-dessous pour plus d’information).

Description du projet

L’ambassade de France en Bulgarie, l’Institut français de Bulgarie, l’Association Startup Factory et Snowball Effect co-organisent le projet « Replication Challenge ». Ce projet vise à sensibiliser les jeunes entre 18 et 35 ans à l’entrepreneuriat social et solidaire. Il comporte une session de formation de trois jours : « Training for changemakers : a weekend to change the world ». Cette session de formation se déroulera en anglais, du 6 au 8 octobre 2023 à Villa Yustina et permettra de présenter aux participants plusieurs projets et solutions d’entrepreneurs sociaux répondant à des problématiques éducatives, sociales et environnementales et qui ont déjà été mis en œuvre en France, en Bulgarie ou dans d’autres pays. Les participants seront invités à s’inspirer de ces solutions existantes, à les répliquer et les reproduire. Ils travailleront en équipe pour concevoir un projet et en faire la présentation sous forme de pitch marketing devant un jury préalablement sélectionné par l’IFB. Le projet est mis en oeuvre en partenariat avec Sodexo Bulgarie, la CCI France Bulgarie, la fondation « America for Bulgaria », Ingotify, la French Tech Sofia, Open Coworking spaces, WWF Bulgarie et Zoya.bg.
 
L’enregistrement et la participation au projet « Replication Challenge » se fera par la vente des billets en ligne jusqu’au 30 septembre 2023 sur https://startupfactory.bg/replication-challenge/.

Retrouvez-nous aussi sur Facebook : https://www.facebook.com/events/647551390652440

Inscrivez-vous pour bénéficier de tarifs réduits anticipés (‘early bird’). Seulement 150 leva avant le 31 août 2023 !

Après cette date, le tarif passe à 200 leva par participant, avec un paiement simple et rapide en ligne.