Discussion littéraire avec les écrivains Hervé Le Tellier et Théodora Dimova
Le 9 mars à 18h30, salle « Slaveykov » de l’Institut français de Bulgarie (3, place Slaveykov)
L’Institut français de Bulgarie et les éditions Colibri ont le plaisir de vous inviter à la présentation du roman « L’Anomalie », prix Goncourt 2020, en présence de son auteur Hervé Le Tellier et avec la participation spéciale de l’écrivaine bulgare Théodora Dimova.
Modératrice : Nadejda Moskovska. Traduction simultanée.
Le débat sera suivi d’une séance de dédicaces.
« Le livre le plus intéressant de toute la rentrée. Allez-y, foncez ! Un livre génial, extrêmement inventif. Une sorte de scénario formidable, de blockbuster américain, écrit par un Français qui s’amuse. »
Olivia de Lamberterie, France 2
« C’est toute la profondeur de ce livre étonnant : l’air de rien, en faisant danser les destins sur l’air du fantastique, Hervé Le Tellier nous conduit devant le miroir. En bousculant les frontières du réel, c’est la confrontation à soi-même qu’il explore. De manière jubilatoire, en passant l’essentiel au décapant de l’absurde et de l’ironie. Virtuose. »
Arnaud de La Grange, Le Figaro Littéraire
« Thriller avec services secrets et meurtres brutaux, récit SF multifacette, roman d’histoires d’amour fin de millénaire, conte philosophique sur les failles de la technologie et les abus de la surveillance, Hervé Le Tellier nous offre un roman aussi noir que le ciel sur l’anomalie d’un monde littéralement insensé. »
Michel Schneider, Le Point
« Un roman monde, qui nous entraîne de la France aux Etats-Unis en passant par le Nigeria et l’Inde, sur les traces d’un avion inexplicablement atterri au même endroit à deux reprises, avec les mêmes passagers, à trois mois d’écart.
(…)roman efficace et addictif, drôle et discrètement mélancolique »
Raphaëlle Leyris, Le Monde
« Très drôle, diaboliquement intelligent, L’anomalie joue avec nos certitudes pour interroger, in fine, les limites du langage et de la littérature. Une enthousiasmante expérience de pensée littéraire. »
Sophie Joubert, L’Humanité